Man – La grève des enseignants et éducateurs de l'enseignement secondaire affecte le fonctionnement global de l'Ecole dans la direction régionale de l'Education nationale et l'Enseignement technique (DRENET) de Man où trois établissements sur treize sont fermés, a confié à l'AIP mardi, le directeur régional, Coulibaly Emmanuel André Tiémoko.
"Au lieu du mardi 21 avril indiqué sur le préavis de gréve comme date du début d'un débrayage de trois jours, le mouvement à démarré dès lundi à Man et va en se durcissant", a déploré M. Coulibaly, soutenant faire des efforts pour gérer localement au mieux cette fronde somme toute nationale.
Il dit ne pas comprendre la volonté des grévistes de paralyser l'école en empêchant leurs collègues qui veulent travailler de le faire, considérant ce comportement "illégal", parce que portant atteinte aux droits et liberté des autres.
Une réunion tenue, le jeudi 23 avril avril, à la préfecture de Man s'est achevée en queue de poisson. Les parents d'élèves se sont mués dans un silence et les enseignants ont claqué la porte, a-t-il soutenu, expliquant que dans la direction régionale de Man, le Syndicat national des enseignants du secondaire de Côte d'Ivoire (SYNESCI) est au travail, seule "Convergence", un autre syndicat est sur le terrain accompagnée par quelques éducateurs.
Depuis le lundi 20 avril l'Ecole est perturbée par une grève générale, pour entre autres ponctions sur le salaire des enseignants ayant participé aux précédents mouvements.
A Man trois établissements, le Lycée moderne, le Collège moderne et le Collège municipal sont fermés. Toutefois, les épreuves physiques du BEPC se déroulenet tant bien que mal.
Des élèves partis du Lycée moderne, ce mardi, ont entrepris de déloger les élèves des autres établissements de la ville qui font cours. Lors d'une tournée du directeur régional dans les établissements, l'AIP a appris qu'un élève a été enlevé par d'autres élèves au centre d'examen des épreuves physiques du Collège moderne puis séquestré au collège Gué Pascal voisin. Il a été libéré par la police.
gem/akn/ask
"Au lieu du mardi 21 avril indiqué sur le préavis de gréve comme date du début d'un débrayage de trois jours, le mouvement à démarré dès lundi à Man et va en se durcissant", a déploré M. Coulibaly, soutenant faire des efforts pour gérer localement au mieux cette fronde somme toute nationale.
Il dit ne pas comprendre la volonté des grévistes de paralyser l'école en empêchant leurs collègues qui veulent travailler de le faire, considérant ce comportement "illégal", parce que portant atteinte aux droits et liberté des autres.
Une réunion tenue, le jeudi 23 avril avril, à la préfecture de Man s'est achevée en queue de poisson. Les parents d'élèves se sont mués dans un silence et les enseignants ont claqué la porte, a-t-il soutenu, expliquant que dans la direction régionale de Man, le Syndicat national des enseignants du secondaire de Côte d'Ivoire (SYNESCI) est au travail, seule "Convergence", un autre syndicat est sur le terrain accompagnée par quelques éducateurs.
Depuis le lundi 20 avril l'Ecole est perturbée par une grève générale, pour entre autres ponctions sur le salaire des enseignants ayant participé aux précédents mouvements.
A Man trois établissements, le Lycée moderne, le Collège moderne et le Collège municipal sont fermés. Toutefois, les épreuves physiques du BEPC se déroulenet tant bien que mal.
Des élèves partis du Lycée moderne, ce mardi, ont entrepris de déloger les élèves des autres établissements de la ville qui font cours. Lors d'une tournée du directeur régional dans les établissements, l'AIP a appris qu'un élève a été enlevé par d'autres élèves au centre d'examen des épreuves physiques du Collège moderne puis séquestré au collège Gué Pascal voisin. Il a été libéré par la police.
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