Convaincu qu’aucun développement ne peut se faire sans aucun programme d’industrialisation structuré, le ministre Daniel Anikpo reste perplexe sur l’avenir des Africains, particulièrement des Ivoiriens. Dans cette chronique, il attire l’attention des pouvoirs publics.
Le Président Senghor disait, à propos des Noirs : «Premiers aux stades, derniers en mathématiques». Les performances des Africains s’apprécieront par leurs capacités à développer leurs pays. En conséquence, ce qu’on demande aux pouvoirs africains, c’est de disposer d’un programme d’industrialisation pour développer nos pays qui sont tous sous-développés. Parce que nous savons que l’industrialisation est le seul passeport qui permet à un pays sous-développé, de se développer. Et pour cela, la donnée concrète d’évaluation des gouvernements compétents, c’est la capacité à concevoir et à mettre en chantier, un programme d’industrialisation pour développer leurs pays. Depuis, 1960, notre pays a montré son impuissance à développer notre économie, après 55 années d’indépendance. Tous les bricoleurs de l’ancien modèle de développement dépassé, le modèle néoclassique, «doivent revoir leur politique de développement» comme le conseille la Méga économie. Tous ont tourné ou tournent en ronds. Ivoiriens, Africains, ouvrez les yeux, enlevez vos écailles des yeux. Africains, Ivoiriens, ouvrez les oreilles. C’est moi qui ai la nouvelle vérité. Le temps des slogans est fini. A cause des dures souffrances de notre jeunesse, de la grande prostitution de nos jeunes filles, de la misère de nos populations, de l’extrême pauvreté des ménages ivoiriens, de l’humiliation et de l’indignité dont l’Afrique est victime au plan international, nous n’avons pas d’autre choix. Après 55 années d’indépendance infructueuses et décevantes, il est temps de réfléchir à l’intérêt général, avant d’agir. Notre pays malade du sous-développement aspire au développement, au plein-emploi et au bonheur national comme tous les autres pays du monde. Sachez pour notre salut, que l’industrialisation est la seule et unique voie qui permet à un pays sous-développé, de se développer et d’être heureux. Nous sommes en 2015. Nous ne sommes plus dans la première période de l’ignorance de savoir développer qui part de 1960 à 2015. Nous sommes dans la nouvelle période de savoir développer depuis 2007, en Côte d’Ivoire. Cela fait huit années pleines que je chante ces nouvelles vérités dans le cadre de la mise en chantier du premier programme de développement glocal africain, le Ppdga en Côte d’Ivoire. C’est donc un programme d’industrialisation qu’il faut mettre en chantier en Côte d’Ivoire maintenant. Depuis 2007, j’ai en chantier le premier programme d’industrialisation glocale endogène, ce que personne n’a pu faire, avant moi, pour développer notre chère Côte d’Ivoire et notre chère Afrique. Sans un programme d’industrialisation au moment où je vous parle, il n’y a pas et il n’y aura pas d’homme sauveur en Côte d’Ivoire. Parce que le savoir développer de la nouvelle science de développement enseigne que l’industrialisation est la seule et unique voie qui permet à un pays sous-développé, de se développer. Toutes les compétences en développement de nos responsables africains, sont fondées sur l’ancien modèle de développement néoclassique. Un modèle dépassé, inadapté et incapable de développer un pays sous-développé, dans cette économie mondialisée. Ils ignorent la nouvelle économie, la Méga économie. Et les politiques de développement mises en œuvre dans nos pays africains, ne peuvent conduire que dans des voies incertaines de la perdition et du sous-développement perpétuel. Les anciens et les nouveaux pays industrialisés, les API et NPI, ont confirmé ces conclusions. Pour se développer, ils se sont industrialisés. Sans programme d’industrialisation, notre pays est condamné à mort par le sous-développement perpétuel. Chers parents, amis et connaissances, ne vous tromper pas de nouveau en 2015, comme vous vous êtes trompés sur le compte du « faux miracle économique » éphémère du Président Félix Houphouët-Boigny, dans les années 1960. N’ayant pas mis le moindre programme d’industrialisation en chantier, comme le Général Park en Corée, qui n’a fait que 19 années au pouvoir pour développer la Corée, le Président HOUPHOUET nous a laissé une Côte d’Ivoire toujours sous-développée. Le «miracle ivoirien» n’était qu’un mirage, un slogan. Vu ses mauvaises performances, économiques et sociales, la politique actuelle de l’émergence de la Côte d’ivoire, ressemble bien à un slogan : (faible performance économique en matière de création d’entreprises et sociales en matière de création d’emplois et de pouvoir d’achat réel. Ceux qui prennent Le Président Félix Houphouët-Boigny comme modèle de développement, n’auront que son expérience d’échec de développement qui a laissé notre pays sous-développé, après ses 33 années de pouvoir. En effet, le dialogue et la paix qu’il laisse comme héritage ne constituent pas un programme d’industrialisation pour développer notre pays. La philosophie du dialogue sert dans le meilleur des cas, d’approche pour régler les conflits et pas plus. Si le Président Houphouët a été incapable d’industrialiser et de développer la Côte d’ivoire, les Héritiers le seront encore plus. J’invite donc les Ivoiriens à être les premiers, en Afrique, à achever le programme d’industrialisation africain PPDGA en chantier. Pour que la Côte d’Ivoire soit la première nouvelle puissance industrielle exemplaire pour l’Afrique. C’est ce que personne n’a pu faire, avant moi. J’invite donc les Ivoiriens à rejoindre, sans tarder le premier programme d’industrialisation glocale endogène en cours.
Vive l’industrialisation ici et maintenant
Le Président Senghor disait, à propos des Noirs : «Premiers aux stades, derniers en mathématiques». Les performances des Africains s’apprécieront par leurs capacités à développer leurs pays. En conséquence, ce qu’on demande aux pouvoirs africains, c’est de disposer d’un programme d’industrialisation pour développer nos pays qui sont tous sous-développés. Parce que nous savons que l’industrialisation est le seul passeport qui permet à un pays sous-développé, de se développer. Et pour cela, la donnée concrète d’évaluation des gouvernements compétents, c’est la capacité à concevoir et à mettre en chantier, un programme d’industrialisation pour développer leurs pays. Depuis, 1960, notre pays a montré son impuissance à développer notre économie, après 55 années d’indépendance. Tous les bricoleurs de l’ancien modèle de développement dépassé, le modèle néoclassique, «doivent revoir leur politique de développement» comme le conseille la Méga économie. Tous ont tourné ou tournent en ronds. Ivoiriens, Africains, ouvrez les yeux, enlevez vos écailles des yeux. Africains, Ivoiriens, ouvrez les oreilles. C’est moi qui ai la nouvelle vérité. Le temps des slogans est fini. A cause des dures souffrances de notre jeunesse, de la grande prostitution de nos jeunes filles, de la misère de nos populations, de l’extrême pauvreté des ménages ivoiriens, de l’humiliation et de l’indignité dont l’Afrique est victime au plan international, nous n’avons pas d’autre choix. Après 55 années d’indépendance infructueuses et décevantes, il est temps de réfléchir à l’intérêt général, avant d’agir. Notre pays malade du sous-développement aspire au développement, au plein-emploi et au bonheur national comme tous les autres pays du monde. Sachez pour notre salut, que l’industrialisation est la seule et unique voie qui permet à un pays sous-développé, de se développer et d’être heureux. Nous sommes en 2015. Nous ne sommes plus dans la première période de l’ignorance de savoir développer qui part de 1960 à 2015. Nous sommes dans la nouvelle période de savoir développer depuis 2007, en Côte d’Ivoire. Cela fait huit années pleines que je chante ces nouvelles vérités dans le cadre de la mise en chantier du premier programme de développement glocal africain, le Ppdga en Côte d’Ivoire. C’est donc un programme d’industrialisation qu’il faut mettre en chantier en Côte d’Ivoire maintenant. Depuis 2007, j’ai en chantier le premier programme d’industrialisation glocale endogène, ce que personne n’a pu faire, avant moi, pour développer notre chère Côte d’Ivoire et notre chère Afrique. Sans un programme d’industrialisation au moment où je vous parle, il n’y a pas et il n’y aura pas d’homme sauveur en Côte d’Ivoire. Parce que le savoir développer de la nouvelle science de développement enseigne que l’industrialisation est la seule et unique voie qui permet à un pays sous-développé, de se développer. Toutes les compétences en développement de nos responsables africains, sont fondées sur l’ancien modèle de développement néoclassique. Un modèle dépassé, inadapté et incapable de développer un pays sous-développé, dans cette économie mondialisée. Ils ignorent la nouvelle économie, la Méga économie. Et les politiques de développement mises en œuvre dans nos pays africains, ne peuvent conduire que dans des voies incertaines de la perdition et du sous-développement perpétuel. Les anciens et les nouveaux pays industrialisés, les API et NPI, ont confirmé ces conclusions. Pour se développer, ils se sont industrialisés. Sans programme d’industrialisation, notre pays est condamné à mort par le sous-développement perpétuel. Chers parents, amis et connaissances, ne vous tromper pas de nouveau en 2015, comme vous vous êtes trompés sur le compte du « faux miracle économique » éphémère du Président Félix Houphouët-Boigny, dans les années 1960. N’ayant pas mis le moindre programme d’industrialisation en chantier, comme le Général Park en Corée, qui n’a fait que 19 années au pouvoir pour développer la Corée, le Président HOUPHOUET nous a laissé une Côte d’Ivoire toujours sous-développée. Le «miracle ivoirien» n’était qu’un mirage, un slogan. Vu ses mauvaises performances, économiques et sociales, la politique actuelle de l’émergence de la Côte d’ivoire, ressemble bien à un slogan : (faible performance économique en matière de création d’entreprises et sociales en matière de création d’emplois et de pouvoir d’achat réel. Ceux qui prennent Le Président Félix Houphouët-Boigny comme modèle de développement, n’auront que son expérience d’échec de développement qui a laissé notre pays sous-développé, après ses 33 années de pouvoir. En effet, le dialogue et la paix qu’il laisse comme héritage ne constituent pas un programme d’industrialisation pour développer notre pays. La philosophie du dialogue sert dans le meilleur des cas, d’approche pour régler les conflits et pas plus. Si le Président Houphouët a été incapable d’industrialiser et de développer la Côte d’ivoire, les Héritiers le seront encore plus. J’invite donc les Ivoiriens à être les premiers, en Afrique, à achever le programme d’industrialisation africain PPDGA en chantier. Pour que la Côte d’Ivoire soit la première nouvelle puissance industrielle exemplaire pour l’Afrique. C’est ce que personne n’a pu faire, avant moi. J’invite donc les Ivoiriens à rejoindre, sans tarder le premier programme d’industrialisation glocale endogène en cours.
Vive l’industrialisation ici et maintenant
