Ferkessédougou - Les autorités administratives de Ferkessédougou, ont invité les professeurs du lycée moderne à reprendre le travail, en attendant que des solutions soient trouvées à leurs revendications, au cours d'une réunion, lundi, à la préfecture avec les enseignants et les responsables locaux des syndicats du secondaire.
"Nous avons la possibilité de faire porter haut vos revendications. Un problème national peut avoir sa solution localement à partir d'ici. Partez à l'école. Reprenez le travail. Nous allons jouer notre partition. Aidez nous à vous aider", a suggéré aux enseignants grévistes du lycée moderne de Ferké, préfet de la région du Tchologo, préfet du département de Ferkessédougou, Diakité Soualoho,
Pour toute réponse, les responsables syndicaux ont laissé entendre qu'ils veulent bien reprendre mais qu'ils obéissaient à un mot d'ordre de grève national.
"Nous voulons bien reprendre les cours. Nous suivons un mot d'ordre de grève national. Le problème est national, il lui faut une solution nationale. Nous allons nous rencontrer en AG et vous faire part de ce que nous aurons décidé", a laissé entendre, le coordonnateur régional de la CESCI, Gombleu Rabbin, aux autorités.
Cette réunion fait suite aux violences survenues au collège Charles Lwanga où les élèves du lycée moderne, mécontents, ont délogé par jets de pierres, leurs camarades du privé, avant de se déployer dans les autres écoles de la ville.
(AIP)
ti/fmo/akn/kam
"Nous avons la possibilité de faire porter haut vos revendications. Un problème national peut avoir sa solution localement à partir d'ici. Partez à l'école. Reprenez le travail. Nous allons jouer notre partition. Aidez nous à vous aider", a suggéré aux enseignants grévistes du lycée moderne de Ferké, préfet de la région du Tchologo, préfet du département de Ferkessédougou, Diakité Soualoho,
Pour toute réponse, les responsables syndicaux ont laissé entendre qu'ils veulent bien reprendre mais qu'ils obéissaient à un mot d'ordre de grève national.
"Nous voulons bien reprendre les cours. Nous suivons un mot d'ordre de grève national. Le problème est national, il lui faut une solution nationale. Nous allons nous rencontrer en AG et vous faire part de ce que nous aurons décidé", a laissé entendre, le coordonnateur régional de la CESCI, Gombleu Rabbin, aux autorités.
Cette réunion fait suite aux violences survenues au collège Charles Lwanga où les élèves du lycée moderne, mécontents, ont délogé par jets de pierres, leurs camarades du privé, avant de se déployer dans les autres écoles de la ville.
(AIP)
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