À l’occasion de la deuxième édition des BRVM Investment Days, la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) et plusieurs entreprises ouest-africaines ont rencontré les investisseurs de la Bourse de Londres.
La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) se félicite de la réussite de la deuxième édition des « BRVM Investment days » qui s’est tenue le 28 avril 2015 à la Bourse de Londres (London Stock Exchange). « Il est important pour le marché sous régional en forte croissance de venir à la rencontre des investisseurs britanniques et internationaux pour leur exposer l’évolution et la performance de la BRVM », a expliqué Edoh Kossi Amenounve, directeur général de la Bourse, devant plus d’une centaine de personnalités parmi lesquelles des représentants de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), les dirigeants de la BRVM et du London Stock Exchange, ainsi que des investisseurs internationaux. Venue spécialement dans la capitale britannique pour souligner l’importance de cette rencontre, la ministre ivoirienne auprès du Premier ministre, chargée de l’Économie et des Finances, Nialé Kaba, a insisté sur l’importance de la BRVM « pour mobiliser l’épargne locale, développer l’actionnariat populaire et accroître la contribution du secteur privé à l’activité économique ».
Avec une capitalisation qui a doublé en trois ans (7458 milliards de F CFA, soit près de 13,8 milliards de dollars au 31 décembre 2014) et une progression constante des transactions, la BRVM (6e Bourse africaine) apparaît aujourd’hui comme une destination privilégiée pour de nombreux investisseurs internationaux qui souhaitent diversifier leur portefeuille d’actifs et ainsi contribuer au développement des économies africaines. Après une année 2013 record (les deux indices BRVM 10 et BRVM Composite ont progressé respectivement de 33,85 % et de 39,28 %), l’année 2014 a consolidé cette croissance (respectivement 8,6 % et 11,2 %). Par ailleurs, avec deux nouvelles introductions (Bank of Africa Sénégal en décembre 2014 et Total Sénégal en février 2015), la BRVM compte à présent 39 sociétés cotées. La dernière introduction remontait à avril 2010 avec Bank of Africa Côte d’Ivoire.
« Il y a déjà de nombreux investisseurs internationaux investis à la BRVM parmi lesquels Franklin Templeton, Allan Gray, Pictet ou Renaissance Securities. Il est important pour la BRVM d’amplifier ce volume pour accroître la profondeur et la liquidité de notre marché », analyse Gabriel Fal, président du Conseil d’administration de la BRVM. Ces dernières années, les investisseurs internationaux ont représenté entre 40 et 60% des transactions en valeur.
Pour sa part, le London Stock Exchange multiplie des accords de partenariat avec les places africaines à la fois sur des volets technologiques, des programmes de formation ou un développement à terme des flux d’investissements entre Londres et le continent : Johannesburg (Afrique du Sud), Casablanca (Maroc), Accra (Ghana), Nairobi (Kenya), Lagos (Nigeria), Maputo (Mozambique)... « Nous avons été ravis d’accueillir certaines des plus grands entreprises de l’Afrique de l’Ouest. En soutenant l’économie de cette région, notre rôle à Londres est de travailler avec ces entreprises et de les présenter comme des opportunités d’investissement pour les capitaux internationaux afin de soutenir leur rayonnement. L'événement d'aujourd'hui nous donne l'occasion de réfléchir sur le partenariat de plus en plus solide entre Londres et l'Afrique de l'Ouest et d'explorer comment nous pouvons renforcer notre collaboration », conclut Xavier Rolet, Directeur général du London Stock Exchange Group.
La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) se félicite de la réussite de la deuxième édition des « BRVM Investment days » qui s’est tenue le 28 avril 2015 à la Bourse de Londres (London Stock Exchange). « Il est important pour le marché sous régional en forte croissance de venir à la rencontre des investisseurs britanniques et internationaux pour leur exposer l’évolution et la performance de la BRVM », a expliqué Edoh Kossi Amenounve, directeur général de la Bourse, devant plus d’une centaine de personnalités parmi lesquelles des représentants de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), les dirigeants de la BRVM et du London Stock Exchange, ainsi que des investisseurs internationaux. Venue spécialement dans la capitale britannique pour souligner l’importance de cette rencontre, la ministre ivoirienne auprès du Premier ministre, chargée de l’Économie et des Finances, Nialé Kaba, a insisté sur l’importance de la BRVM « pour mobiliser l’épargne locale, développer l’actionnariat populaire et accroître la contribution du secteur privé à l’activité économique ».
Avec une capitalisation qui a doublé en trois ans (7458 milliards de F CFA, soit près de 13,8 milliards de dollars au 31 décembre 2014) et une progression constante des transactions, la BRVM (6e Bourse africaine) apparaît aujourd’hui comme une destination privilégiée pour de nombreux investisseurs internationaux qui souhaitent diversifier leur portefeuille d’actifs et ainsi contribuer au développement des économies africaines. Après une année 2013 record (les deux indices BRVM 10 et BRVM Composite ont progressé respectivement de 33,85 % et de 39,28 %), l’année 2014 a consolidé cette croissance (respectivement 8,6 % et 11,2 %). Par ailleurs, avec deux nouvelles introductions (Bank of Africa Sénégal en décembre 2014 et Total Sénégal en février 2015), la BRVM compte à présent 39 sociétés cotées. La dernière introduction remontait à avril 2010 avec Bank of Africa Côte d’Ivoire.
« Il y a déjà de nombreux investisseurs internationaux investis à la BRVM parmi lesquels Franklin Templeton, Allan Gray, Pictet ou Renaissance Securities. Il est important pour la BRVM d’amplifier ce volume pour accroître la profondeur et la liquidité de notre marché », analyse Gabriel Fal, président du Conseil d’administration de la BRVM. Ces dernières années, les investisseurs internationaux ont représenté entre 40 et 60% des transactions en valeur.
Pour sa part, le London Stock Exchange multiplie des accords de partenariat avec les places africaines à la fois sur des volets technologiques, des programmes de formation ou un développement à terme des flux d’investissements entre Londres et le continent : Johannesburg (Afrique du Sud), Casablanca (Maroc), Accra (Ghana), Nairobi (Kenya), Lagos (Nigeria), Maputo (Mozambique)... « Nous avons été ravis d’accueillir certaines des plus grands entreprises de l’Afrique de l’Ouest. En soutenant l’économie de cette région, notre rôle à Londres est de travailler avec ces entreprises et de les présenter comme des opportunités d’investissement pour les capitaux internationaux afin de soutenir leur rayonnement. L'événement d'aujourd'hui nous donne l'occasion de réfléchir sur le partenariat de plus en plus solide entre Londres et l'Afrique de l'Ouest et d'explorer comment nous pouvons renforcer notre collaboration », conclut Xavier Rolet, Directeur général du London Stock Exchange Group.