Dimbokro – Le directeur régional (DR) du Travail du N’Zi, Koffi Boffo Apollinaire, qui s’adressait, vendredi, aux travailleurs de Dimbokro, a convié les représentations locales des centrales syndicales à une trêve sociale, arguant que des acquis ont été obtenus par le dialogue et non par les grèves.
«Les décisions portant sur la revalorisation du SMIG et des pensions, le déblocage des avancements des fonctionnaires ; la révision du code du travail et du statut général de la Fonction publique, l’instauration des programmes de logements sociaux ; la couverture maladie universelle, la politique de création d’emplois jeunes, la réouverture des concours directs et professionnels de la Fonction publique, la redynamisation du dialogue social ont été déjà arrêtés par le gouvernement en vue de l’amélioration de la qualité et des conditions de vie des populations », a argumenté M. Koffi.
Il a reconnu qu’en dépit de ces décisions et de ce qui a été fait, beaucoup reste encore à faire et convie à une trêve sociale.
«C’est pourquoi je me permets d’inviter les centrales syndicales locales à une trêve sociale, car ne l’oublions pas, ces acquis ont été obtenus par le dialogue et non par les grèves. C’est donc en préservant la paix sociale que nous permettrons au gouvernement d’améliorer progressivement et substantiellement la qualité, les conditions de travail de toutes les personnes en situation de travail en Côte d’Ivoire et surtout d’avancer inexorablement vers cet objectif noble de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 », insiste-t-il.
Il y a environ 129 ans, des employés américains se sont regroupés dans la ville de Chicago pour se battre afin d’amener la journée de travail quotidien à 8 heures le 1er mai 1886. Depuis, des hommes et des femmes du monde se sont battus pour la conquête et la conservation d’acquis sociaux. Ainsi naquit la fête du travail qui se commémore le 1er mai de chaque année.
zgrp/tm
«Les décisions portant sur la revalorisation du SMIG et des pensions, le déblocage des avancements des fonctionnaires ; la révision du code du travail et du statut général de la Fonction publique, l’instauration des programmes de logements sociaux ; la couverture maladie universelle, la politique de création d’emplois jeunes, la réouverture des concours directs et professionnels de la Fonction publique, la redynamisation du dialogue social ont été déjà arrêtés par le gouvernement en vue de l’amélioration de la qualité et des conditions de vie des populations », a argumenté M. Koffi.
Il a reconnu qu’en dépit de ces décisions et de ce qui a été fait, beaucoup reste encore à faire et convie à une trêve sociale.
«C’est pourquoi je me permets d’inviter les centrales syndicales locales à une trêve sociale, car ne l’oublions pas, ces acquis ont été obtenus par le dialogue et non par les grèves. C’est donc en préservant la paix sociale que nous permettrons au gouvernement d’améliorer progressivement et substantiellement la qualité, les conditions de travail de toutes les personnes en situation de travail en Côte d’Ivoire et surtout d’avancer inexorablement vers cet objectif noble de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 », insiste-t-il.
Il y a environ 129 ans, des employés américains se sont regroupés dans la ville de Chicago pour se battre afin d’amener la journée de travail quotidien à 8 heures le 1er mai 1886. Depuis, des hommes et des femmes du monde se sont battus pour la conquête et la conservation d’acquis sociaux. Ainsi naquit la fête du travail qui se commémore le 1er mai de chaque année.
zgrp/tm