Bouaké - Le préfet de la région de Gbêkê, préfet du département de Bouaké, Aka Konin, a invité, vendredi à l’occasion de la fête du travail, les travailleurs à faire confiance au gouvernement et à créer les conditions d’une paix durable.
«Un gouvernement responsable tient toujours ses promesses. Soyons donc des faiseurs de paix», a M. Konin, saluant les mesures prises par le gouvernement pour améliorer les conditions de vie des travailleurs notamment, l’augmentation du SMIG, le déblocage des avancements des fonctionnaires et l’adoption d’un nouveau code du travail.
«J’invite donc les travailleurs tant du secteur public et privé à mettre fin à ces grèves qui s’apparentent au terrorisme et au banditisme où tous les moyens sont bon pour atteindre les objectifs», a-t-il lancé, recommandant aux syndicats le respect des normes de grève consignées dans la constitution.
Il a rendu hommage aux travailleurs dont les efforts contribuent au rayonnement de la Côte d’Ivoire et à son repositionnement sur l’échiquier international. Puis il a salué en particulier le courage des agents de l’Etat, des employés du secteur privé et des ouvriers indépendants qui œuvrent pour la reconstruction de la région de Gbêkê.
Les centrales syndicales, l’Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI), l’Union national des travailleurs de Côte d’Ivoire (UNTRCI) et Humanisme, par la voix de leurs porte-paroles respectifs, MM. Kouassi Konan Anderson, Kouakou Richard et Diabagaté Lacina, ont plaidé notamment, pour la lutte contre la cherté de la vie, la déclaration des employés de certaines entreprises locales à la CNPS, l’application du SMIG, l’appui de l’Etat à la reprise des activités de l’usine textile Gonfreville et un combat du ministère d’un commerce contre la concurrence déloyale qui plombe l’essor des certaines sociétés de la région.
La fête du travail a été marquée à Bouaké par un défilé des différentes couches socioprofessionnelles.
nbf/tm
«Un gouvernement responsable tient toujours ses promesses. Soyons donc des faiseurs de paix», a M. Konin, saluant les mesures prises par le gouvernement pour améliorer les conditions de vie des travailleurs notamment, l’augmentation du SMIG, le déblocage des avancements des fonctionnaires et l’adoption d’un nouveau code du travail.
«J’invite donc les travailleurs tant du secteur public et privé à mettre fin à ces grèves qui s’apparentent au terrorisme et au banditisme où tous les moyens sont bon pour atteindre les objectifs», a-t-il lancé, recommandant aux syndicats le respect des normes de grève consignées dans la constitution.
Il a rendu hommage aux travailleurs dont les efforts contribuent au rayonnement de la Côte d’Ivoire et à son repositionnement sur l’échiquier international. Puis il a salué en particulier le courage des agents de l’Etat, des employés du secteur privé et des ouvriers indépendants qui œuvrent pour la reconstruction de la région de Gbêkê.
Les centrales syndicales, l’Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI), l’Union national des travailleurs de Côte d’Ivoire (UNTRCI) et Humanisme, par la voix de leurs porte-paroles respectifs, MM. Kouassi Konan Anderson, Kouakou Richard et Diabagaté Lacina, ont plaidé notamment, pour la lutte contre la cherté de la vie, la déclaration des employés de certaines entreprises locales à la CNPS, l’application du SMIG, l’appui de l’Etat à la reprise des activités de l’usine textile Gonfreville et un combat du ministère d’un commerce contre la concurrence déloyale qui plombe l’essor des certaines sociétés de la région.
La fête du travail a été marquée à Bouaké par un défilé des différentes couches socioprofessionnelles.
nbf/tm