Dimbokro – Au nom du préfet de la région du N’Zi et du département de Dimbokro, Dr N’guessan Obouo Jacques, le secrétaire général (SG2) de préfecture, Dongo Kobéna, présidant la célébration locale de la fête du travail, a recommandé aux travailleurs d’œuvrer pour que la paix continue de régner en cette année électorale.
« Nous observons la grève de certains enseignants. Mais il faut se garder de détruire l’échafaudage. Que chacun joue le rôle qui est le sien, notamment le respect mutuel des procédures de travail pour la préservation d’un climat paisible.
C’est pourquoi, je recommande la retenue pour épuiser toutes les voies de recours avant d’en arriver à la grève, car 2015 est une année électorale où nous devons tout mettre en œuvre pour que continue de régner la paix », a affirmé, vendredi, le représentant du préfet.
Le SG2 se prononçant sur les revendications des travailleurs, a, d’abord, salué l’engagement de tout un chacun en faveur du développement du pays.
« Après avoir reçu les cahiers de charges, je voudrais dire, au nom du préfet de la région du N’Zi et du département de Dimbokro, que la célébration de la fête du travail est pour nous, Etat et travailleurs, l’occasion de faire le bilan et jeter des perspectives. C’est aussi l’occasion de rendre hommage à l’engagement de tous pour le développement de notre pays, la Côte d’Ivoire, à quelque niveau que ce soit, car le travail constitue un moteur puissant de croissance », a-t-il relevé.
Relativement aux acquis, l’administrateur civil révèle que le 1er mai 2014, des doléances ont émises dont certaines ont été résolues.
« Le président de la République a procédé conséquemment à la revalorisation du SMIG passé de 36 000 FCFA à 60 000 FCFA et a permis de nombreux autres acquis. Cependant, il y a encore beaucoup d’efforts à faire. C’est pourquoi, le gouvernement est toujours à la tâche et les négociations en cours aboutiront à la revalorisation totale, à l’obtention d’un code du travail novateur », a indiqué M. Dongo. Il a énuméré les efforts consentis par l’Etat dont la création de nombreux emplois pour jeunes.
A Dimbokro, deux unités industrielles emploient l’essentiel des travailleurs. L’application du SMIG et la satisfaction entière des procédures du travail, notamment la question des déclarations des employés à la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS) et du reversement des cotisations sociales, semble encore loin d’être résolue si l’on s’en tient aux déclarations de travailleurs locaux.
zgrp/cmas
« Nous observons la grève de certains enseignants. Mais il faut se garder de détruire l’échafaudage. Que chacun joue le rôle qui est le sien, notamment le respect mutuel des procédures de travail pour la préservation d’un climat paisible.
C’est pourquoi, je recommande la retenue pour épuiser toutes les voies de recours avant d’en arriver à la grève, car 2015 est une année électorale où nous devons tout mettre en œuvre pour que continue de régner la paix », a affirmé, vendredi, le représentant du préfet.
Le SG2 se prononçant sur les revendications des travailleurs, a, d’abord, salué l’engagement de tout un chacun en faveur du développement du pays.
« Après avoir reçu les cahiers de charges, je voudrais dire, au nom du préfet de la région du N’Zi et du département de Dimbokro, que la célébration de la fête du travail est pour nous, Etat et travailleurs, l’occasion de faire le bilan et jeter des perspectives. C’est aussi l’occasion de rendre hommage à l’engagement de tous pour le développement de notre pays, la Côte d’Ivoire, à quelque niveau que ce soit, car le travail constitue un moteur puissant de croissance », a-t-il relevé.
Relativement aux acquis, l’administrateur civil révèle que le 1er mai 2014, des doléances ont émises dont certaines ont été résolues.
« Le président de la République a procédé conséquemment à la revalorisation du SMIG passé de 36 000 FCFA à 60 000 FCFA et a permis de nombreux autres acquis. Cependant, il y a encore beaucoup d’efforts à faire. C’est pourquoi, le gouvernement est toujours à la tâche et les négociations en cours aboutiront à la revalorisation totale, à l’obtention d’un code du travail novateur », a indiqué M. Dongo. Il a énuméré les efforts consentis par l’Etat dont la création de nombreux emplois pour jeunes.
A Dimbokro, deux unités industrielles emploient l’essentiel des travailleurs. L’application du SMIG et la satisfaction entière des procédures du travail, notamment la question des déclarations des employés à la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS) et du reversement des cotisations sociales, semble encore loin d’être résolue si l’on s’en tient aux déclarations de travailleurs locaux.
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