Les résidents comme les non résidents de la commune de Cocody sont en difficulté. Ils ne peuvent pas emprunter leurs véhicules de transport préférés, les taxis-communaux de couleur jaune. A cause des gnambros qui empêchent par la violence et des menaces de mort, depuis lundi dernier, ces taxi-communaux de rouler. Après la décision du maire de Cocody de fermer toutes les gares des gnambros, source, selon la municipalité, de désordre et de violences.
Ce calvaire des usagers de ces taxi-communaux dure depuis mardi dernier. La question que le commun des mortels se pose, après ces deux jours de calvaire, c’est pourquoi, les forces de l’ordre censées maintenir l’ordre en protégeant les clients de ces wôrô-wôrô sont invisibles, inexistantes, passives. Alors qu’elles sont bel et bien présentes sur les grandes artères de Cocody et assistent, impuissantes, au spectacle désolant des gnambros. Qu’est devenue leur fonction régalienne portant sur la sécurité des biens et des personnes ? N’ont-elles pas reçu de consignes de leur hiérarchie pour agir ou cette hierarchie a-t-elle les mains liées à ces gnambros ? Ce curieux silence des forces de l’ordre prête vraiment à interprétation. Cette attitude donne t-elle raison à ceux qui soutiennent que l’impuissance des forces de l’ordre est due au fait que la hiérarchie policière et militaire est aux petits soins financiers de ces gnambros, qui protégés, n’ont finalement peur de rien et défient les lois républicaines. En se comportant comme des hors-la-loi, des personnes qui ont droit de vie et de mort sur leurs semblables.
N’Gouan Mathias, le maire de Cocody, pourra-t-il résister à cette mafia organisée dont les gnambros ne sont que la partie visible de l’iceberg. Une mafia qui, selon des sources dignes de foi, a des ramifications politico-militaires.
C.B.
Ce calvaire des usagers de ces taxi-communaux dure depuis mardi dernier. La question que le commun des mortels se pose, après ces deux jours de calvaire, c’est pourquoi, les forces de l’ordre censées maintenir l’ordre en protégeant les clients de ces wôrô-wôrô sont invisibles, inexistantes, passives. Alors qu’elles sont bel et bien présentes sur les grandes artères de Cocody et assistent, impuissantes, au spectacle désolant des gnambros. Qu’est devenue leur fonction régalienne portant sur la sécurité des biens et des personnes ? N’ont-elles pas reçu de consignes de leur hiérarchie pour agir ou cette hierarchie a-t-elle les mains liées à ces gnambros ? Ce curieux silence des forces de l’ordre prête vraiment à interprétation. Cette attitude donne t-elle raison à ceux qui soutiennent que l’impuissance des forces de l’ordre est due au fait que la hiérarchie policière et militaire est aux petits soins financiers de ces gnambros, qui protégés, n’ont finalement peur de rien et défient les lois républicaines. En se comportant comme des hors-la-loi, des personnes qui ont droit de vie et de mort sur leurs semblables.
N’Gouan Mathias, le maire de Cocody, pourra-t-il résister à cette mafia organisée dont les gnambros ne sont que la partie visible de l’iceberg. Une mafia qui, selon des sources dignes de foi, a des ramifications politico-militaires.
C.B.