La Croix-Rouge a appelé à un soutien aux pays ouest-africains touchés par l'épidémie de fièvre à virus Ebola, à l'occasion de la célébration vendredi à Dakar de sa journée mondiale.
"Il faut soutenir les communautés touchées, en Guinée, au Sierra Leone et au Libéria, à se relever des effets de la maladie. C'est notre responsabilité collective et partagée", a affirmé le directeur Afrique de la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR), Alasan Senghore.
"Nous devons gérer simultanément une approche à deux niveaux pour répondre à la fois à l'urgence et à la nécessité de renforcer les communautés à travers les efforts de relèvement tout en s' assurant qu'il y a assez de ressources pour atteindre l'objectif zéro cas d'Ebola", a-t-il poursuivi.
"Ebola a eu des impacts socio-économiques dans les pays touchés. Des commerces et des écoles ont été fermés pendant plus d'un an", a souligné, de son côté, le président de la Croix-Rouge sénégalaise, Abdoul Azize Diallo.
"Il faudra recréer une vie plus sociale pour ces communautés mais aussi multiplier les structures sanitaires et recouvrer le personnel de santé dont une partie a été tuée par la maladie", a-t- il ajouté.
L'envoyé spécial du secrétaire général des Nations unies pour Ebola, Dr David Nabarro, a, pour sa part, relevé que "bien que le nombre de cas ait chuté de manière considérable, l'épidémie n'est pas encore terminée".
"Nous ne devons pas baisser la garde car il y a encore certaines chaînes de transmission inconnues", a-t- conclu.
"Il faut soutenir les communautés touchées, en Guinée, au Sierra Leone et au Libéria, à se relever des effets de la maladie. C'est notre responsabilité collective et partagée", a affirmé le directeur Afrique de la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR), Alasan Senghore.
"Nous devons gérer simultanément une approche à deux niveaux pour répondre à la fois à l'urgence et à la nécessité de renforcer les communautés à travers les efforts de relèvement tout en s' assurant qu'il y a assez de ressources pour atteindre l'objectif zéro cas d'Ebola", a-t-il poursuivi.
"Ebola a eu des impacts socio-économiques dans les pays touchés. Des commerces et des écoles ont été fermés pendant plus d'un an", a souligné, de son côté, le président de la Croix-Rouge sénégalaise, Abdoul Azize Diallo.
"Il faudra recréer une vie plus sociale pour ces communautés mais aussi multiplier les structures sanitaires et recouvrer le personnel de santé dont une partie a été tuée par la maladie", a-t- il ajouté.
L'envoyé spécial du secrétaire général des Nations unies pour Ebola, Dr David Nabarro, a, pour sa part, relevé que "bien que le nombre de cas ait chuté de manière considérable, l'épidémie n'est pas encore terminée".
"Nous ne devons pas baisser la garde car il y a encore certaines chaînes de transmission inconnues", a-t- conclu.