Adzopé, Des engins de deux, trois et quatre roues rivalisaient dans la matinée de ce samedi à Adzopé, pour le convoyage des populations locales vers la "Place de la République" de la ville, où le chef de l’Etat Alassane Ouattara va animer, dans l’après-midi, le meeting final de la visite d’Etat qu’il a entamée vendredi dans la région de la Mé.
Des motos transportant parfois trois ou quatre personnes y compris le conducteur faisaient des va-et-vient dans entre les quartiers de la ville et le lieu du rassemblement déjà bondé de monde à la mi-journée.
"Je transporte seulement mes amis et les membres de la famille (…), il me reste encore deux tours à faire", affirme M. Bamba, tout en sueur, sous un soleil de plomb.
Des minicars de transport en commun ou "Massa", des autocars bennes, faisaient également la navette entre la ville et des villages, transportant dans personnes chantant, ou émettant des cris de liesse.
En renfort à ces engins, les tricycles, moyen de transport en plein boom dans la capitale de la Mé, n’ont pas manqué à l’appel. Certains ont été loués par des associations dont ils transportent les membres par vague vers la Place de la République, quand d’autres en profitent pour faire tourner leur petit business.
"Je ne prend pas plus de 10 personnes. Chaque personne paie 100 francs", affirme le jeune Sékou, pour qui cette journée permet de faire de bonnes affaires.
Alassane Ouattara est attendu dans la cité du "Tchoya" en début d’après-midi, ce samedi.
(AIP)
tm/cmas
Des motos transportant parfois trois ou quatre personnes y compris le conducteur faisaient des va-et-vient dans entre les quartiers de la ville et le lieu du rassemblement déjà bondé de monde à la mi-journée.
"Je transporte seulement mes amis et les membres de la famille (…), il me reste encore deux tours à faire", affirme M. Bamba, tout en sueur, sous un soleil de plomb.
Des minicars de transport en commun ou "Massa", des autocars bennes, faisaient également la navette entre la ville et des villages, transportant dans personnes chantant, ou émettant des cris de liesse.
En renfort à ces engins, les tricycles, moyen de transport en plein boom dans la capitale de la Mé, n’ont pas manqué à l’appel. Certains ont été loués par des associations dont ils transportent les membres par vague vers la Place de la République, quand d’autres en profitent pour faire tourner leur petit business.
"Je ne prend pas plus de 10 personnes. Chaque personne paie 100 francs", affirme le jeune Sékou, pour qui cette journée permet de faire de bonnes affaires.
Alassane Ouattara est attendu dans la cité du "Tchoya" en début d’après-midi, ce samedi.
(AIP)
tm/cmas