Dimbokro, Les chefs du département de Kouassi-Kouassikro se sont rendus samedi au domicile de N’guessan Koffi Bernard, président du conseil régional du N’Zi, institution en charge de construction et de réhabilitation d’établissements secondaires publics dans la région, pour lui présenter « de vive voix des excuses après les actes de vandalisme perpétrés par nos enfants au sein du lycée. »
« Aucun motif ne peut justifier ces actes commis par nos enfants au sein du lycée de Kouassi-Kouassikro, causant les casses de toutes les vitres de l’administration du lycée. Même le véhicule du sous-préfet n’a pas été épargné. Ils en ont brisé des vitres. Je suis venu avec les chefs pour rencontrer le président et lui présenter de vive voix des excuses relativement aux actes de vandalisme perpétrés par nos enfants au sein du lycée », a affirmé Koffi Kouassi Martin, conseiller régional et président du COGES dudit lycée.
Poursuivant, Koffi Kouassi Martin a argué qu’il est anormal que les enfants détruisent une infrastructure au moment où le conseil recherche des moyens pour construire et réhabiliter.
« Les chefs sont venus aussi dire au président du conseil régional qu’ils le soutiennent dans le développement de la région... A cet effet, il n’y a pas longtemps, des missions du conseil ont été conduites dans la région pour recueillir auprès des populations des trois départements (Dimbokro, Bocanda, Kouassi-Kouassikro), leurs besoins primordiaux. Un rapport a été produit et déposé sur la table du président », a indiqué, pour sa part, Dr Yao Koffi Jean-Paul, 3ème vice-président du conseil régional, intervenant au nom du président de l’institution.
Le 23 avril dernier, les élèves candidats aux épreuves physiques du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) de Kouassi-Kouassikro qui ont démarré ces épreuves sans avoir subi les visites médicales pour lesquelles ils ont déboursé chacun 500 FCFA, réclamaient bruyamment la restitution de leur argent.
Invités au drapeau du lycée pour y être entretenus par le proviseur et le sous-préfet sur la question, ils se sont livrés à des violences suite à la bastonnade de l’un d’entre eux par des gendarmes qui lui reprochaient son mauvais comportement envers le sous-préfet. Les vitres de l’administration de l’établissement ont toutes volé en éclat, idem pour celles du véhicule de commandement du sous-préfet.
(AIP)
zgrp/cmas
« Aucun motif ne peut justifier ces actes commis par nos enfants au sein du lycée de Kouassi-Kouassikro, causant les casses de toutes les vitres de l’administration du lycée. Même le véhicule du sous-préfet n’a pas été épargné. Ils en ont brisé des vitres. Je suis venu avec les chefs pour rencontrer le président et lui présenter de vive voix des excuses relativement aux actes de vandalisme perpétrés par nos enfants au sein du lycée », a affirmé Koffi Kouassi Martin, conseiller régional et président du COGES dudit lycée.
Poursuivant, Koffi Kouassi Martin a argué qu’il est anormal que les enfants détruisent une infrastructure au moment où le conseil recherche des moyens pour construire et réhabiliter.
« Les chefs sont venus aussi dire au président du conseil régional qu’ils le soutiennent dans le développement de la région... A cet effet, il n’y a pas longtemps, des missions du conseil ont été conduites dans la région pour recueillir auprès des populations des trois départements (Dimbokro, Bocanda, Kouassi-Kouassikro), leurs besoins primordiaux. Un rapport a été produit et déposé sur la table du président », a indiqué, pour sa part, Dr Yao Koffi Jean-Paul, 3ème vice-président du conseil régional, intervenant au nom du président de l’institution.
Le 23 avril dernier, les élèves candidats aux épreuves physiques du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) de Kouassi-Kouassikro qui ont démarré ces épreuves sans avoir subi les visites médicales pour lesquelles ils ont déboursé chacun 500 FCFA, réclamaient bruyamment la restitution de leur argent.
Invités au drapeau du lycée pour y être entretenus par le proviseur et le sous-préfet sur la question, ils se sont livrés à des violences suite à la bastonnade de l’un d’entre eux par des gendarmes qui lui reprochaient son mauvais comportement envers le sous-préfet. Les vitres de l’administration de l’établissement ont toutes volé en éclat, idem pour celles du véhicule de commandement du sous-préfet.
(AIP)
zgrp/cmas