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Le secrétariat technique du Plan national de développement (PND), en partenariat avec le Comité de concertation Etat-Secteur privé, s’est entretenu avec les acteurs du secteur privé ce mardi 12 avril, à l’immeuble SCIAM, au Plateau.
Au centre des échanges, l’examen des conditions de participation de ce secteur à l’élaboration PND 2016-2020. Ils ont également discuté des rapports sur la commande publique et surtout sur le point essentiel du financement du développement. Le secteur privé a un délai de deux mois pour déposer ses propositions.
Selon Diaby Lanciné, Directeur général du Plan et de la lutte contre la pauvreté, par ailleurs Secrétaire technique, ‘’si nous voulons être émergents, il faut que nous parvenions à disposer d’un secteur privé de classe mondiale’’. ‘’Et aujourd’hui, a-t-il poursuivi, le secteur privé est le mieux indiqué pour nous permettre de faire un bon ciblage des infrastructures stratégiques pour que la Côte d’Ivoire soit émergente’’. Les préoccupations et aspirations du secteur privé seront donc prises en compte dans le prochain PND, a-t-il assuré.
‘’Il faut absolument qu’au niveau de l’inclusion, au niveau de l’appropriation par le secteur privé, la prise en main de cette ère de croissance, on puisse sentir le secteur privé pleinement dans le second PND’’, a indiqué quant à lui, Ouattara Lakoun, Directeur général de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI).
Cette rencontre se tient en moins d’un mois de la Journée nationale du partenariat (JNP) entre l’État et le Secteur privé, qui s’est déroulée le lundi 27 avril à Abidjan, avec pour objectif de camper le décor de la vision de développement du président de la République, Alassane Ouattara.
Danielle Tagro
Au centre des échanges, l’examen des conditions de participation de ce secteur à l’élaboration PND 2016-2020. Ils ont également discuté des rapports sur la commande publique et surtout sur le point essentiel du financement du développement. Le secteur privé a un délai de deux mois pour déposer ses propositions.
Selon Diaby Lanciné, Directeur général du Plan et de la lutte contre la pauvreté, par ailleurs Secrétaire technique, ‘’si nous voulons être émergents, il faut que nous parvenions à disposer d’un secteur privé de classe mondiale’’. ‘’Et aujourd’hui, a-t-il poursuivi, le secteur privé est le mieux indiqué pour nous permettre de faire un bon ciblage des infrastructures stratégiques pour que la Côte d’Ivoire soit émergente’’. Les préoccupations et aspirations du secteur privé seront donc prises en compte dans le prochain PND, a-t-il assuré.
‘’Il faut absolument qu’au niveau de l’inclusion, au niveau de l’appropriation par le secteur privé, la prise en main de cette ère de croissance, on puisse sentir le secteur privé pleinement dans le second PND’’, a indiqué quant à lui, Ouattara Lakoun, Directeur général de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI).
Cette rencontre se tient en moins d’un mois de la Journée nationale du partenariat (JNP) entre l’État et le Secteur privé, qui s’est déroulée le lundi 27 avril à Abidjan, avec pour objectif de camper le décor de la vision de développement du président de la République, Alassane Ouattara.
Danielle Tagro
