Le président ivoirien Alassane Ouattara a exprimé mardi à Abidjan sa volonté et celle de son homologue ghanéen John Dramani Mahama de "s'engager dans un processus à l'amiable" dans le différend frontalier maritime qui oppose leurs deux pays.
M. Ouattara a fait cette annonce à son retour de Genève (Suisse) où il a rencontré le président ghanéen pour discuter du différend relatif à la délimitation de la frontière maritime entre leurs deux pays, à l'invitation de l'ancien secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan.
A en croire M. Ouattara, la rencontre fut "emprunte de cordialité" et leur a permis de "réaffirmer" leur "vision mutuelle de l'intégration régionale" et leur "volonté de s'engager dans un processus à l'amiable" dans la recherche de solution au litige.
Ce "processus à l'amiable" vise à "conclure une série de mesures dont l'application ne compromettrait, ni n'entraverait la décision définitive que rendra la chambre spéciale du Tribunal international pour le droit de la mer", a souligné M. Ouattara.
Il a annoncé que le Ghana, "après des consultations internes d'usage, au niveau de son gouvernement et de son Parlement, enverra une délégation en Côte d'Ivoire pour rencontrer le ministre de l'Energie et du Pétrole ainsi que la délégation ivoirienne afin de finaliser les discussions".
Le président ivoirien a ajouté qu'avec son homologue ghanéen, la délimitation de la frontière maritime demeure leur "objectif commun".
La Côte d'Ivoire et le Ghana ont porté devant le tribunal international un différend qui les oppose sur une zone de leur frontière commune riche en pétrole.
En attendant le verdict du tribunal, le gouvernement ivoirien a demandé au Ghana de suspendre les activités dans la zone litigieuse.
Un communiqué laconique à l'issue de la réunion lundi à Genève indique que suite à une ordonnance du tribunal international pour le droit de la mer (TIDM) sur une demande en prescription de "mesures conservatoires" de la Côte d'Ivoire, "les deux présidents, fidèles à leur vision mutuelle de l'intégration régionale, ont décidé de s'engager dans un processus visant à réaliser la coopération préconisée par le TIDM".
M. Ouattara a fait cette annonce à son retour de Genève (Suisse) où il a rencontré le président ghanéen pour discuter du différend relatif à la délimitation de la frontière maritime entre leurs deux pays, à l'invitation de l'ancien secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan.
A en croire M. Ouattara, la rencontre fut "emprunte de cordialité" et leur a permis de "réaffirmer" leur "vision mutuelle de l'intégration régionale" et leur "volonté de s'engager dans un processus à l'amiable" dans la recherche de solution au litige.
Ce "processus à l'amiable" vise à "conclure une série de mesures dont l'application ne compromettrait, ni n'entraverait la décision définitive que rendra la chambre spéciale du Tribunal international pour le droit de la mer", a souligné M. Ouattara.
Il a annoncé que le Ghana, "après des consultations internes d'usage, au niveau de son gouvernement et de son Parlement, enverra une délégation en Côte d'Ivoire pour rencontrer le ministre de l'Energie et du Pétrole ainsi que la délégation ivoirienne afin de finaliser les discussions".
Le président ivoirien a ajouté qu'avec son homologue ghanéen, la délimitation de la frontière maritime demeure leur "objectif commun".
La Côte d'Ivoire et le Ghana ont porté devant le tribunal international un différend qui les oppose sur une zone de leur frontière commune riche en pétrole.
En attendant le verdict du tribunal, le gouvernement ivoirien a demandé au Ghana de suspendre les activités dans la zone litigieuse.
Un communiqué laconique à l'issue de la réunion lundi à Genève indique que suite à une ordonnance du tribunal international pour le droit de la mer (TIDM) sur une demande en prescription de "mesures conservatoires" de la Côte d'Ivoire, "les deux présidents, fidèles à leur vision mutuelle de l'intégration régionale, ont décidé de s'engager dans un processus visant à réaliser la coopération préconisée par le TIDM".