Abidjan – Après l’échec du coup d'Etat entamé mercredi au Burundi, le chef des putschistes, Godefroid Niyombare, a annoncé leur reddition, vendredi.
"Nous avons décidé de nous rendre. J'espère qu'ils ne vont pas nous tuer", a-t-il déclaré par téléphone à un journaliste, alors que des soldats fidèles au président Pierre Nkurunziza s'approchaient de lui.
Quelques heures plus tard, la présidence a annoncé l'arrestation du chef des mutins.
Dans la matinée, le porte-parole des putschistes, le commissaire de police Vénon Ndabaneze, a confirmé leur reddition.
"Nous avons décidé de nous rendre. Nous avons déposé les armes. Nous avons appelé le ministre de la Sécurité publique et le ministre de la Défense pour leur dire que nous n'avions plus d'armes", a-t-il affirmé, juste avant de se faire arrêter en compagnie du numéro deux du mouvement Cyrille Ndayirukiye.
Ce dernier avait annoncé l'échec du coup d'Etat, la veille.
Le général Godefroid Niyombare avait d'abord échappé aux forces pro-Nkurunziza, avant d'être arrêté, en fin de matinée.
Vendredi matin, le président burundais Pierre Nkurunziza ne se trouve pas encore à Bujumbura, mais dans sa ville natale de Ngozi, à quelque 140 km au nord-est. Le président doit s'exprimer dans les heures qui viennent.
(AIP)
cmas
"Nous avons décidé de nous rendre. J'espère qu'ils ne vont pas nous tuer", a-t-il déclaré par téléphone à un journaliste, alors que des soldats fidèles au président Pierre Nkurunziza s'approchaient de lui.
Quelques heures plus tard, la présidence a annoncé l'arrestation du chef des mutins.
Dans la matinée, le porte-parole des putschistes, le commissaire de police Vénon Ndabaneze, a confirmé leur reddition.
"Nous avons décidé de nous rendre. Nous avons déposé les armes. Nous avons appelé le ministre de la Sécurité publique et le ministre de la Défense pour leur dire que nous n'avions plus d'armes", a-t-il affirmé, juste avant de se faire arrêter en compagnie du numéro deux du mouvement Cyrille Ndayirukiye.
Ce dernier avait annoncé l'échec du coup d'Etat, la veille.
Le général Godefroid Niyombare avait d'abord échappé aux forces pro-Nkurunziza, avant d'être arrêté, en fin de matinée.
Vendredi matin, le président burundais Pierre Nkurunziza ne se trouve pas encore à Bujumbura, mais dans sa ville natale de Ngozi, à quelque 140 km au nord-est. Le président doit s'exprimer dans les heures qui viennent.
(AIP)
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