Le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan, procédant à l’ouverture de la première édition des Journées portes ouvertes de l’Association ivoirienne des sciences agronomiques (AISA), qui se tiennent du 15 mai au 16 mai, à Yopougon, a annoncé la création d’un fonds national de la recherche scientifique et technologique d’une valeur de 500 millions de FCFA. Ces Journées portes ouvertes de l’AISA sont un cadre de réflexion entre chercheurs du monde agricole sur le thème : « L’AISA face aux défis de l’émergence de la Côte d’Ivoire : quelles nouvelles orientations pour un développement agricole ? ».
Elles ont pour objectifs, entre autres, de relancer les activités de l’AISA en tenant compte de l’environnement nouveau du monde agricole, de promouvoir et valoriser les différentes filières agricoles pour privilégier l’entreprenariat agricole.
Pour le Premier ministre, l’AISA constitue « un pilier majeur dont la contribution est indispensable au développement de l’économie nationale ».
Ayant pris bonne note des doléances du président de l’AISA qui se résument, à l’appui de l’Etat pour l’organisation du congrès scientifique de l’AISA dont la première édition se tiendra, du 16 au 20 novembre 2015 à Yamoussoukro, à la représentation de l’AISA au sein du Conseil économique et social, le chef du Gouvernement a traduit « ses félicitations et ses encouragements » à ces chercheurs et leur a assuré du « soutien du Gouvernement ».
Aussi, il a saisi cette tribune pour « appeler au calme la communauté enseignante du supérieur et à comprendre les efforts complémentaires faits par l’Etat en débloquant les salaires ». Il les a invités à la reprise des cours dans les différentes universités et à revenir à la table de négociation ».
Présent à cette cérémonie, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, a soutenu que « les résultats de la recherche scientifique agricole ont permis à la Côte d’Ivoire d’occuper un rang honorable dans le monde agricole mondial » en ce sens que « la recherche agronomique améliore la productivité des revenus agricoles».
Relevant que la volonté du Gouvernement est bien affichée pour la cause de la recherche, il a annoncé que des « primes de recherches seront instaurées à partir de janvier 2016 ».
Pour le président de l’AISA, Da Costa Kouassi, « l’agriculture ivoirienne doit être soutenue par une recherche performante ».
Ajoutant que « la conduite de projets participatifs en recherche et développement a engendré la redynamisation du mouvement coopératif et l’amélioration de la productivité du riz de bas-fonds, l’introduction avec un relatif succès des cultures du palmier à huile et de l’hévéa avec la mise en place de plants palmiers, de l’hévéa, et du cacao, le développement de la culture de l’anacardier dans le Nord-Est de la Côte d’Ivoire ».
Force de réflexion stratégique constituée de plus 400 chercheurs, enseignants chercheurs, ingénieurs agronomes, techniciens supérieurs, doctorants issus du système national agricole, l’AISA créée en 1981, représente une ressource bibliographique importante pour l’administration et les collectivités décentralisées en matière de politique agricole.
Elles ont pour objectifs, entre autres, de relancer les activités de l’AISA en tenant compte de l’environnement nouveau du monde agricole, de promouvoir et valoriser les différentes filières agricoles pour privilégier l’entreprenariat agricole.
Pour le Premier ministre, l’AISA constitue « un pilier majeur dont la contribution est indispensable au développement de l’économie nationale ».
Ayant pris bonne note des doléances du président de l’AISA qui se résument, à l’appui de l’Etat pour l’organisation du congrès scientifique de l’AISA dont la première édition se tiendra, du 16 au 20 novembre 2015 à Yamoussoukro, à la représentation de l’AISA au sein du Conseil économique et social, le chef du Gouvernement a traduit « ses félicitations et ses encouragements » à ces chercheurs et leur a assuré du « soutien du Gouvernement ».
Aussi, il a saisi cette tribune pour « appeler au calme la communauté enseignante du supérieur et à comprendre les efforts complémentaires faits par l’Etat en débloquant les salaires ». Il les a invités à la reprise des cours dans les différentes universités et à revenir à la table de négociation ».
Présent à cette cérémonie, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, a soutenu que « les résultats de la recherche scientifique agricole ont permis à la Côte d’Ivoire d’occuper un rang honorable dans le monde agricole mondial » en ce sens que « la recherche agronomique améliore la productivité des revenus agricoles».
Relevant que la volonté du Gouvernement est bien affichée pour la cause de la recherche, il a annoncé que des « primes de recherches seront instaurées à partir de janvier 2016 ».
Pour le président de l’AISA, Da Costa Kouassi, « l’agriculture ivoirienne doit être soutenue par une recherche performante ».
Ajoutant que « la conduite de projets participatifs en recherche et développement a engendré la redynamisation du mouvement coopératif et l’amélioration de la productivité du riz de bas-fonds, l’introduction avec un relatif succès des cultures du palmier à huile et de l’hévéa avec la mise en place de plants palmiers, de l’hévéa, et du cacao, le développement de la culture de l’anacardier dans le Nord-Est de la Côte d’Ivoire ».
Force de réflexion stratégique constituée de plus 400 chercheurs, enseignants chercheurs, ingénieurs agronomes, techniciens supérieurs, doctorants issus du système national agricole, l’AISA créée en 1981, représente une ressource bibliographique importante pour l’administration et les collectivités décentralisées en matière de politique agricole.
