ABIDJAN - Des formations politiques et des candidats à la présidentielle d’octobre en Côte d’Ivoire ont signé vendredi à Abidjan une charte, destinée à la création d’une "coalition nationale pour le changement", en vue de réaliser des élections transparentes et démocratiques dans le pays.
La charte a été signée par une dizaine de petits partis politiques, à savoir Liberté et démocratie (LIDER, de Mamadou Koulibaly), la tendance Sangaré Abou Dramane du Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo) et des candidats ayant déclarés leur participation à la présidentielle, notamment le député Bertin Kouadio Konan, dit KKB, issu du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, allié de M. Ouattara).
La charte, composée de cinq articles et dix protocoles additionnels, revendique, entre autres, une liste électorale "actualisée et crédible", un code électoral "reformé", la proclamation "exclusive" des résultats dans les bureaux de vote, une commission électorale "effectivement" indépendante.
"Notre coalition est un outil à la disposition des Ivoiriens. Est-ce qu’elle est anti-Ouattara ? Non ! Nous sommes pour la Côte d’Ivoire démocratique, nous sommes pour des élections transparentes, nous sommes pour la liberté et la démocratie dans notre pays, nous ne sommes pas contre quelqu’un, nous sommes positifs", a déclaré Mamadou Koulibaly, lors d’une conférence de presse qui a suivie la signature de la charte.
"Evidemment, si nous avons des candidats et que M. Ouattara est candidat, il sera notre adversaire", a-t-il ajouté.
Le président sortant Alassane Ouattara a été investi candidat unique de la coalition au pouvoir pour l’élection présidentielle d’octobre.
"Notre premier réflexe c’est la discussion", a souligné Mamadou Koulibaly, qui appelle le gouvernement à venir "à la table pour discuter des conditions des élections, des conditions de la démocratie".
La charte a été signée par une dizaine de petits partis politiques, à savoir Liberté et démocratie (LIDER, de Mamadou Koulibaly), la tendance Sangaré Abou Dramane du Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo) et des candidats ayant déclarés leur participation à la présidentielle, notamment le député Bertin Kouadio Konan, dit KKB, issu du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, allié de M. Ouattara).
La charte, composée de cinq articles et dix protocoles additionnels, revendique, entre autres, une liste électorale "actualisée et crédible", un code électoral "reformé", la proclamation "exclusive" des résultats dans les bureaux de vote, une commission électorale "effectivement" indépendante.
"Notre coalition est un outil à la disposition des Ivoiriens. Est-ce qu’elle est anti-Ouattara ? Non ! Nous sommes pour la Côte d’Ivoire démocratique, nous sommes pour des élections transparentes, nous sommes pour la liberté et la démocratie dans notre pays, nous ne sommes pas contre quelqu’un, nous sommes positifs", a déclaré Mamadou Koulibaly, lors d’une conférence de presse qui a suivie la signature de la charte.
"Evidemment, si nous avons des candidats et que M. Ouattara est candidat, il sera notre adversaire", a-t-il ajouté.
Le président sortant Alassane Ouattara a été investi candidat unique de la coalition au pouvoir pour l’élection présidentielle d’octobre.
"Notre premier réflexe c’est la discussion", a souligné Mamadou Koulibaly, qui appelle le gouvernement à venir "à la table pour discuter des conditions des élections, des conditions de la démocratie".