Abidjan – Le Président de la République, Alassane Ouattara, a inauguré, lundi, les locaux de l’usine de chocolat, Cémoi, une entreprise française qui entend produire 10.000 tonnes de chocolat par an.
Située à la zone industrielle de Yopougon, cette nouvelle usine qui a nécessité un investissement de quatre milliards de francs CFA sur une superficie de 2.000 m², pour la fabrication d’un chocolat "100% made in Côte d’Ivoire", emploie 1000 personnes.
"C’est une usine moderne, répondant aux normes internationales de production s’appuyant sur l’expertise du groupe et vise le marché ivoirien et sous-régional", a indiqué le président du groupe Cémoi, Patrick Poirrier.
Depuis 2009, le 1er chocolatier français a créé 17 centres de fermentation et de séchage et initié un programme de développement durable visant à améliorer la qualité du cacao, tout en augmentant les rendements et en améliorant les revenus de 19.000 planteurs impliqués dans sa mise en œuvre.
A l’invitation du Groupe Cémoi, le ministre ivoirien de l'Agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, avait inauguré, en décembre 2013, le nouveau centre de recherche et développement du chocolatier français Cémoi, totalement dédié au cacao.
A cette occasion, le ministre de l’Agriculture avait invité le groupe Cémoi à construire une chocolaterie de ce type en Côte d’Ivoire, rappelle-t-on.
Avec l’ouverture de cette usine, Yopougon "goûte aux délices d’un pays au travail", s’est félicité le maire, Gilbert Kafana Koné, lors de la cérémonie à laquelle assistait l’ambassadeur de France, George Serre.
La Côte d’Ivoire est premier producteur mondial de cacao avec une production de 1,7 million de tonnes. Le pays entend porter le pourcentage de transformation de 35 à 50%.
Les réformes engagées dans la filière depuis 2011 ont amélioré les performances du secteur et augmenté le prix d’achat de 500 à 700 FCFA, a rappelé le ministre de l’Industrie et des Mines, Jean Claude Brou.
En mars dernier, le Président ivoirien avait inauguré à San Pedro, une usine de transformation du cacao du groupe Olam qui avait nécessité un investissement de 37,5 milliards FCFA pour transformer 75.000 tonnes de fèves de cacao par an, avec la création de 450 emplois directs et indirects.
aaa/cmas
Située à la zone industrielle de Yopougon, cette nouvelle usine qui a nécessité un investissement de quatre milliards de francs CFA sur une superficie de 2.000 m², pour la fabrication d’un chocolat "100% made in Côte d’Ivoire", emploie 1000 personnes.
"C’est une usine moderne, répondant aux normes internationales de production s’appuyant sur l’expertise du groupe et vise le marché ivoirien et sous-régional", a indiqué le président du groupe Cémoi, Patrick Poirrier.
Depuis 2009, le 1er chocolatier français a créé 17 centres de fermentation et de séchage et initié un programme de développement durable visant à améliorer la qualité du cacao, tout en augmentant les rendements et en améliorant les revenus de 19.000 planteurs impliqués dans sa mise en œuvre.
A l’invitation du Groupe Cémoi, le ministre ivoirien de l'Agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, avait inauguré, en décembre 2013, le nouveau centre de recherche et développement du chocolatier français Cémoi, totalement dédié au cacao.
A cette occasion, le ministre de l’Agriculture avait invité le groupe Cémoi à construire une chocolaterie de ce type en Côte d’Ivoire, rappelle-t-on.
Avec l’ouverture de cette usine, Yopougon "goûte aux délices d’un pays au travail", s’est félicité le maire, Gilbert Kafana Koné, lors de la cérémonie à laquelle assistait l’ambassadeur de France, George Serre.
La Côte d’Ivoire est premier producteur mondial de cacao avec une production de 1,7 million de tonnes. Le pays entend porter le pourcentage de transformation de 35 à 50%.
Les réformes engagées dans la filière depuis 2011 ont amélioré les performances du secteur et augmenté le prix d’achat de 500 à 700 FCFA, a rappelé le ministre de l’Industrie et des Mines, Jean Claude Brou.
En mars dernier, le Président ivoirien avait inauguré à San Pedro, une usine de transformation du cacao du groupe Olam qui avait nécessité un investissement de 37,5 milliards FCFA pour transformer 75.000 tonnes de fèves de cacao par an, avec la création de 450 emplois directs et indirects.
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