Vavoua - Depuis quelques semaines, les habitants de Vavoua sont confrontés à de récurrents délestages et coupures d’eau dans la ville, a constaté l’AIP surplace.
Les habitants de certains quartiers de Vavoua qui avaient la chance de recueillir quelques goûtes d’eau potable entre minuit et 5 heures, n’en trouvent pratiquement plus. Ils veillent au pied de leurs robinets en vain.
Ainsi, les rares puits qui ont encore de l’eau, refusent du monde.
Chaque jour, des femmes et des enfants de toutes les couches sociales n’ont de cesse de transporter l’eau des puits sur la tête pour satisfaire les besoins des ménages.
Les agents locaux de la Société pour la distribution de l’eau en Côte d’Ivoire (SODECI), interrogés par l’AIP, expliquent que cette situation est due à la rareté des pluies qui ont contribué à l’assèchement des forages.
Quant à l’électricité, les populations s’accommodent petit à petit à dormir sans la lumière. Les coupures interviennent la plupart du temps à partir de 21 heures pour ne revenir qu’aux environs de 2 heures où souvent au petit matin.
Trois forages alimentent le château d’eau de la ville de Vavoua dont le nombre d'habitants a triplé à l’occasion de la crise de 2002, souligne-t-on.
(AIP)
sk/fmo/akn/ask
Les habitants de certains quartiers de Vavoua qui avaient la chance de recueillir quelques goûtes d’eau potable entre minuit et 5 heures, n’en trouvent pratiquement plus. Ils veillent au pied de leurs robinets en vain.
Ainsi, les rares puits qui ont encore de l’eau, refusent du monde.
Chaque jour, des femmes et des enfants de toutes les couches sociales n’ont de cesse de transporter l’eau des puits sur la tête pour satisfaire les besoins des ménages.
Les agents locaux de la Société pour la distribution de l’eau en Côte d’Ivoire (SODECI), interrogés par l’AIP, expliquent que cette situation est due à la rareté des pluies qui ont contribué à l’assèchement des forages.
Quant à l’électricité, les populations s’accommodent petit à petit à dormir sans la lumière. Les coupures interviennent la plupart du temps à partir de 21 heures pour ne revenir qu’aux environs de 2 heures où souvent au petit matin.
Trois forages alimentent le château d’eau de la ville de Vavoua dont le nombre d'habitants a triplé à l’occasion de la crise de 2002, souligne-t-on.
(AIP)
sk/fmo/akn/ask