Abidjan – Des femmes du conseil économique et social, à la faveur de la fête des mères, ont fait don des vivres et des non vivres aux 52 mamans-pouponnes des enfants de la pouponnière Marie-Thérèse H. Boigny d’Adjamé.
Il s’agit principalement de pièces de pagne, de couches jetables, de jouets pour enfant, d’huile de table, de savon, d’eau mais aussi et surtout un soutien financier d’un million de franc CFA offert par le vice-président du conseil économique et social, M. Tiémoko Yadé.
"Nous vous aimons et à partir d’aujourd’hui, nous serons avec vous en toutes circonstances", a affirmé la conseillère, Mme Jennifer Ceres, lors de la cérémonie de remise de ces dons, jeudi, assurant que les mamans de cette pouponnière seront célébrées tous les ans dès cette année.
La directrice de la pouponnière Marie-Thérèse H. Boigny, Mme Adah Marie-Rose, a remercié ses hôtes et s’est dit comblée par cet acte qui vient non seulement soulager les 72 pensionnaires mais aussi et surtout alléger la tâche de ceux qui pouponnent ces laissés pour compte.
Au-delà des enfants ayant perdu tout lien de filiation ou ayant les parents incarcérés, la pouponnière d’Adjamé s’occupe d’autres tout-petits souffrant de certaines pathologies psychiques.
kkf/ask
Il s’agit principalement de pièces de pagne, de couches jetables, de jouets pour enfant, d’huile de table, de savon, d’eau mais aussi et surtout un soutien financier d’un million de franc CFA offert par le vice-président du conseil économique et social, M. Tiémoko Yadé.
"Nous vous aimons et à partir d’aujourd’hui, nous serons avec vous en toutes circonstances", a affirmé la conseillère, Mme Jennifer Ceres, lors de la cérémonie de remise de ces dons, jeudi, assurant que les mamans de cette pouponnière seront célébrées tous les ans dès cette année.
La directrice de la pouponnière Marie-Thérèse H. Boigny, Mme Adah Marie-Rose, a remercié ses hôtes et s’est dit comblée par cet acte qui vient non seulement soulager les 72 pensionnaires mais aussi et surtout alléger la tâche de ceux qui pouponnent ces laissés pour compte.
Au-delà des enfants ayant perdu tout lien de filiation ou ayant les parents incarcérés, la pouponnière d’Adjamé s’occupe d’autres tout-petits souffrant de certaines pathologies psychiques.
kkf/ask