Katiola, Le chef de secteur de l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR) à Katiola, Lieutenant N’Drin N’Drin Ehie épouse Bréga dénonce la recolonisation des sites déguerpis de la réserve de la faune et de la flore du Haut Bandama par les populations autochtones.
Lors d’une rencontre de sensibilisation des populations, vendredi, à la salle de mariage de la mairie de cette ville, Lieutenant N’Drin secondé par le Lieutenant Kaho Iréné, a révélé que les autochtones sont en train d’occuper les campements laissés par les allogènes (maliens, burkinabé, lobi) qui occupaient ce site.
Il leur a été demandé de sortir de cette réserve, afin de faciliter le travail de l’OIPR qui, dans la nouvelle gestion de cette aire protégée, souhaite désormais une approche participative impliquant les riverains et les autochtones dans le cadre d’un projet financé par les bailleurs de fonds après une mission de prospection sur le site.
la réserve du haut Bandama a une superficie de 123 000 hectares et comprend les sous-préfecture de Katiola, Fronan, Niakara, Boron,Tortiya et Marandallah, souligne-t-on.
(AIP)
dga/fmo/ask
Lors d’une rencontre de sensibilisation des populations, vendredi, à la salle de mariage de la mairie de cette ville, Lieutenant N’Drin secondé par le Lieutenant Kaho Iréné, a révélé que les autochtones sont en train d’occuper les campements laissés par les allogènes (maliens, burkinabé, lobi) qui occupaient ce site.
Il leur a été demandé de sortir de cette réserve, afin de faciliter le travail de l’OIPR qui, dans la nouvelle gestion de cette aire protégée, souhaite désormais une approche participative impliquant les riverains et les autochtones dans le cadre d’un projet financé par les bailleurs de fonds après une mission de prospection sur le site.
la réserve du haut Bandama a une superficie de 123 000 hectares et comprend les sous-préfecture de Katiola, Fronan, Niakara, Boron,Tortiya et Marandallah, souligne-t-on.
(AIP)
dga/fmo/ask