Lancée dans une politique de présentation de ses activités à l'étranger, la Bourse de l'UEMOA souffre du faible volume d'échanges sur le marché.
"Pour les investisseurs, la liquidité est l'enjeu majeur, et sur la Bourse régionale des valeurs mobilières [BRVM] de l'UEMOA, c'est évidemment un gros problème", estime Martin Gollner.
Comme de nombreux autres investisseurs internationaux, le codirigeant de la banque d'investissement First Frontier ne cherche pas à masquer une évidente réalité. Malgré les progrès accomplis ces dernières années, avec des volumes d'échanges quotidiens d'environ 500 000 euros en 2011 à plus de 1 million d'euros en 2014, la BRVM reste encore trop peu animée pour attirer les grands fonds spécialisés sur les marchés émergents. "À la... suite de l'article sur Jeune Afrique
"Pour les investisseurs, la liquidité est l'enjeu majeur, et sur la Bourse régionale des valeurs mobilières [BRVM] de l'UEMOA, c'est évidemment un gros problème", estime Martin Gollner.
Comme de nombreux autres investisseurs internationaux, le codirigeant de la banque d'investissement First Frontier ne cherche pas à masquer une évidente réalité. Malgré les progrès accomplis ces dernières années, avec des volumes d'échanges quotidiens d'environ 500 000 euros en 2011 à plus de 1 million d'euros en 2014, la BRVM reste encore trop peu animée pour attirer les grands fonds spécialisés sur les marchés émergents. "À la... suite de l'article sur Jeune Afrique