• Monsieur le vice-président représentant le Président de l’Assemblée Nationale ;
• Madame le Ministre de la Communication, Porte-parole Adjoint du Gouvernement ;
• Monsieur le Ministre de la Culture et de la Francophonie ;
• Mesdames et Messieurs les Ministres ;
• Excellences, Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Membres du Corps Diplomatique ;
• Monsieur le Gouverneur du District Autonome d’Abidjan ;
• Excellence Monsieur l’Ambassadeur représentant le Ministre Sud-Africain des Arts et de la Culture ;
• Monsieur le Président Directeur Général de Basic Lead, promoteur du Discop ;
• Distingués Chefs Traditionnels et Chefs religieux ;
• Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux, Centraux et Chefs de service ;
• Mesdames et Messieurs les participants ;
• Honorables invités ;
• Chers amis des médias ;
• Mesdames et Messieurs ;
Je voudrais de prime abord souhaiter, au nom de Son Excellence Monsieur Alassane OUTTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire, et au nom de tout le Gouvernement Ivoirien, le traditionnel « Akwaba » c’est-à-dire la cordiale bienvenue à tous les participants venus d’horizons divers prendre part à cette importante rencontre que représente le marché international de la création, de la production et de la distribution de contenus audiovisuels, dénommé «Discop Abidjan 2015 »
Je suis particulièrement heureux de votre présence nombreuse et distinguée aux côtés de vos frères ivoiriens pour contribuer ensemble au développement d’un secteur important pour nos économies, et qui connait essor remarquable en Afrique et en Côte d’Ivoire tout particulièrement.
Je voudrais également, au nom de S.E.M le Président de la République, saluer l’ensemble des personnalités et des Ministres chargés de la culture, de la Communication ainsi que les experts des pays africains présents à cette rencontre. La Côte d’Ivoire est heureuse de vous accueillir, après avoir ouvert ses portes, la semaine dernière seulement au monde entier à la faveur des Assemblées annuelles de la Banque Africaine de Développement (BAD).
J’adresse également mes salutations les plus chaleureuses aux organisateurs de cette rencontre internationale, et particulièrement au Président Directeur Général de Basic Lead et à ses partenaires qui ont bien compris, les enjeux que représente ce secteur pour le continent.
Je les remercie surtout pour l’heureuse initiative qu’ils ont prise d’instituer le Discop de Johannesburg en Afrique du Sud et maintenant le Discop d’Abidjan.
Permettez-moi de féliciter également Madame le Ministre de la Communication de Côte d’Ivoire, dont le dynamisme et l’engagement valent en partie la tenue à Abidjan de cette importante rencontre, avec pour soucis majeur de faire jouer à ce secteur un rôle important dans la mise en œuvre de la grande ambition du Président de la République SEM Alassane OUATTARA de « faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 ».
Excellences Mesdames et Messieurs,
Ma présence ce matin à la cérémonie d’ouverture officielle du DISCOP ABIJDAN 2015 traduit le grand intérêt que le Gouvernement ivoirien, sous la haute égide du Président de la République, SEM Alassane OUATTARA, porte à ce marché international de la création, de la production et de la distribution de contenus audiovisuels.
En effet, l’apport de l’industrie audiovisuelle représente une part de plus en plus importante dans le Produit Intérieur Brut (PIB) de bon nombre de pays. C’est le cas des Etats Unis d’Amérique en général et de la Californie en particulier qui à travers Hollywood, est devenu l’un des Etats les plus riches de cette fédération.
C’est pourquoi, dès son élection en qualité de Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA a mené d’importantes actions en vue de favoriser le développement du secteur de l’audiovisuel.
Il s’agit notamment de :
- la mise en place, par le décret n° 2011-475 du 30 avril 2011, de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA) qui s’est substituée au Conseil National de la Communication Audiovisuelle (CNCA), afin de mieux réguler l’audiovisuel ivoirien (radios et télévisions) ;
- La réhabilitation vingt-six (26) des trente (30) centres émetteurs pour un montant total de 09 milliards de FCFA ;
- l’acquisition d’équipements de production et de diffusion pour la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI) ;
- La mise en œuvre de la transition vers la télévision numérique de terre (TNT) dont le coût global est estimée à 25 milliards de FCFA.
Excellences, Mesdames et Messieurs,
Les objectifs visés à travers ces investissements importants et ses reformes, vous le devinez sont :
- d’une part, de faire de la télévision, dans un pays jeune comme le nôtre, un moyen d’information fiable et crédible et un vecteur de la démocratie;
- et d’autre part, de favoriser, à travers la Télévision, l’émergence d’une industrie cinématographique, capable plus tard de tenir la comparaison avec les autres grands pôles de production et de distribution cinématographiques, en Afrique et dans le monde.
Je tiens à cet égard, à indiquer que la Côte d’Ivoire dispose de ressources humaines, intellectuelles et techniques, capables de relever ce défi.
C’est pour moi le lieu de saluer et de féliciter très chaleureusement l’ensemble des acteurs de ce secteur pour les performances remarquables accomplies à en juger par la qualité des productions audiovisuelles, notamment les téléfilms ivoiriens de plus en plus prisés en Afrique et en Europe.
Il est d’ailleurs à noter que la Télévision Ivoirienne a été mise en place en 1963 et est de ce fait une des doyennes des Télévisions africaines et notamment en Afrique de l’Ouest.
Excellences Mesdames et Messieurs ;
Le Gouvernement est conscient que la production de films et de séries télévisées de qualité coûte non seulement cher, mais requiert également des professionnels bien formés.
C’est dans ce cadre que s’inscrit, le renforcement des capacités de l’Institut des Sciences et Techniques de la Communication (l’ISTC), établissement de formation supérieure en communication à vocation sous régionale, qui assure cette mission de formation et de perfectionnement en Côte d’Ivoire.
Dans cette perspective et pour conférer à cet institut une plus grande dimension et en faire une école polytechnique, il est prévu d’ériger chacune de ses cinq (5) filières (journalisme, production audiovisuelle, télécommunication, publicité-marketing et art et image numérique) en une école ; cela en vue de développer la formation dans divers autres domaines de la communication.
Excellences, Mesdames et Messieurs ;
Tout marché, quelle que soit la nature de la marchandise proposée, suppose la rencontre des producteurs et des acheteurs. Et le marché de l’industrie audiovisuelle n’échappe pas à cette règle. DISCOP offre donc l’occasion fort opportunément de vendre et d’acheter des contenus audiovisuels numériques.
C’est la raison pour laquelle notre pays a autorisé la participation en 2014 à Johannesburg d’une délégation ivoirienne conduite par Madame le Ministre de la Communication, porte-parole du Gouvernement, à cet évènement audiovisuel international.
Mieux, le Gouvernement n’a pas hésité un seul instant à accueillir sur son sol, la toute première édition du Discop d’Abidjan, qui nous rassemble ce jour.
Pour cette édition, m’a-t-on indiqué, on note la participation de 40 vendeurs internationaux, à savoir les distributeurs et producteurs globaux ou régionaux, dans les domaines :
- du contenu télévisé multiplateforme et multi-écrans (films, séries, téléréalités),
- du contenu sportif,
- du contenu pour enfants,
- et du documentaire, qui rencontreront 3 jours durant, plus de 150 acheteurs clefs, représentants pour la plupart des décisionnaires de la programmation et des acquisitions pour les plateformes de distribution les plus dynamiques d’Afrique francophone.
C’est donc dire, toute l’ambition de la Côte d’Ivoire, en accueillant cette importante rencontre, d’être une plaque tournante de l’industrie audiovisuelle, qui constitue une source importante de création de nouveaux emplois et de nouvelles ressources financières pour l’Etat.
Je voudrais avant de clore mon propos, indiquer que le Gouvernement ivoirien ne ménagera aucun effort pour combattre la contrefaçon de produits de l’industrie audiovisuelle et cinématographique, en raison de ses préjudices financiers et moraux important, afin de faire éclore tous les talents et permettre aux acteurs de ce secteur de vivre de leur art. La mise en place du BURIDA rénové (Bureau Ivoirien des Droits d’Auteurs) obéit en partie à cet objectif.
C’est sur cet engagement que je déclare ouverte la première édition de Discop d’Abidjan.
Je vous remercie de votre aimable attention.
• Madame le Ministre de la Communication, Porte-parole Adjoint du Gouvernement ;
• Monsieur le Ministre de la Culture et de la Francophonie ;
• Mesdames et Messieurs les Ministres ;
• Excellences, Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Membres du Corps Diplomatique ;
• Monsieur le Gouverneur du District Autonome d’Abidjan ;
• Excellence Monsieur l’Ambassadeur représentant le Ministre Sud-Africain des Arts et de la Culture ;
• Monsieur le Président Directeur Général de Basic Lead, promoteur du Discop ;
• Distingués Chefs Traditionnels et Chefs religieux ;
• Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux, Centraux et Chefs de service ;
• Mesdames et Messieurs les participants ;
• Honorables invités ;
• Chers amis des médias ;
• Mesdames et Messieurs ;
Je voudrais de prime abord souhaiter, au nom de Son Excellence Monsieur Alassane OUTTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire, et au nom de tout le Gouvernement Ivoirien, le traditionnel « Akwaba » c’est-à-dire la cordiale bienvenue à tous les participants venus d’horizons divers prendre part à cette importante rencontre que représente le marché international de la création, de la production et de la distribution de contenus audiovisuels, dénommé «Discop Abidjan 2015 »
Je suis particulièrement heureux de votre présence nombreuse et distinguée aux côtés de vos frères ivoiriens pour contribuer ensemble au développement d’un secteur important pour nos économies, et qui connait essor remarquable en Afrique et en Côte d’Ivoire tout particulièrement.
Je voudrais également, au nom de S.E.M le Président de la République, saluer l’ensemble des personnalités et des Ministres chargés de la culture, de la Communication ainsi que les experts des pays africains présents à cette rencontre. La Côte d’Ivoire est heureuse de vous accueillir, après avoir ouvert ses portes, la semaine dernière seulement au monde entier à la faveur des Assemblées annuelles de la Banque Africaine de Développement (BAD).
J’adresse également mes salutations les plus chaleureuses aux organisateurs de cette rencontre internationale, et particulièrement au Président Directeur Général de Basic Lead et à ses partenaires qui ont bien compris, les enjeux que représente ce secteur pour le continent.
Je les remercie surtout pour l’heureuse initiative qu’ils ont prise d’instituer le Discop de Johannesburg en Afrique du Sud et maintenant le Discop d’Abidjan.
Permettez-moi de féliciter également Madame le Ministre de la Communication de Côte d’Ivoire, dont le dynamisme et l’engagement valent en partie la tenue à Abidjan de cette importante rencontre, avec pour soucis majeur de faire jouer à ce secteur un rôle important dans la mise en œuvre de la grande ambition du Président de la République SEM Alassane OUATTARA de « faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 ».
Excellences Mesdames et Messieurs,
Ma présence ce matin à la cérémonie d’ouverture officielle du DISCOP ABIJDAN 2015 traduit le grand intérêt que le Gouvernement ivoirien, sous la haute égide du Président de la République, SEM Alassane OUATTARA, porte à ce marché international de la création, de la production et de la distribution de contenus audiovisuels.
En effet, l’apport de l’industrie audiovisuelle représente une part de plus en plus importante dans le Produit Intérieur Brut (PIB) de bon nombre de pays. C’est le cas des Etats Unis d’Amérique en général et de la Californie en particulier qui à travers Hollywood, est devenu l’un des Etats les plus riches de cette fédération.
C’est pourquoi, dès son élection en qualité de Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA a mené d’importantes actions en vue de favoriser le développement du secteur de l’audiovisuel.
Il s’agit notamment de :
- la mise en place, par le décret n° 2011-475 du 30 avril 2011, de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA) qui s’est substituée au Conseil National de la Communication Audiovisuelle (CNCA), afin de mieux réguler l’audiovisuel ivoirien (radios et télévisions) ;
- La réhabilitation vingt-six (26) des trente (30) centres émetteurs pour un montant total de 09 milliards de FCFA ;
- l’acquisition d’équipements de production et de diffusion pour la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI) ;
- La mise en œuvre de la transition vers la télévision numérique de terre (TNT) dont le coût global est estimée à 25 milliards de FCFA.
Excellences, Mesdames et Messieurs,
Les objectifs visés à travers ces investissements importants et ses reformes, vous le devinez sont :
- d’une part, de faire de la télévision, dans un pays jeune comme le nôtre, un moyen d’information fiable et crédible et un vecteur de la démocratie;
- et d’autre part, de favoriser, à travers la Télévision, l’émergence d’une industrie cinématographique, capable plus tard de tenir la comparaison avec les autres grands pôles de production et de distribution cinématographiques, en Afrique et dans le monde.
Je tiens à cet égard, à indiquer que la Côte d’Ivoire dispose de ressources humaines, intellectuelles et techniques, capables de relever ce défi.
C’est pour moi le lieu de saluer et de féliciter très chaleureusement l’ensemble des acteurs de ce secteur pour les performances remarquables accomplies à en juger par la qualité des productions audiovisuelles, notamment les téléfilms ivoiriens de plus en plus prisés en Afrique et en Europe.
Il est d’ailleurs à noter que la Télévision Ivoirienne a été mise en place en 1963 et est de ce fait une des doyennes des Télévisions africaines et notamment en Afrique de l’Ouest.
Excellences Mesdames et Messieurs ;
Le Gouvernement est conscient que la production de films et de séries télévisées de qualité coûte non seulement cher, mais requiert également des professionnels bien formés.
C’est dans ce cadre que s’inscrit, le renforcement des capacités de l’Institut des Sciences et Techniques de la Communication (l’ISTC), établissement de formation supérieure en communication à vocation sous régionale, qui assure cette mission de formation et de perfectionnement en Côte d’Ivoire.
Dans cette perspective et pour conférer à cet institut une plus grande dimension et en faire une école polytechnique, il est prévu d’ériger chacune de ses cinq (5) filières (journalisme, production audiovisuelle, télécommunication, publicité-marketing et art et image numérique) en une école ; cela en vue de développer la formation dans divers autres domaines de la communication.
Excellences, Mesdames et Messieurs ;
Tout marché, quelle que soit la nature de la marchandise proposée, suppose la rencontre des producteurs et des acheteurs. Et le marché de l’industrie audiovisuelle n’échappe pas à cette règle. DISCOP offre donc l’occasion fort opportunément de vendre et d’acheter des contenus audiovisuels numériques.
C’est la raison pour laquelle notre pays a autorisé la participation en 2014 à Johannesburg d’une délégation ivoirienne conduite par Madame le Ministre de la Communication, porte-parole du Gouvernement, à cet évènement audiovisuel international.
Mieux, le Gouvernement n’a pas hésité un seul instant à accueillir sur son sol, la toute première édition du Discop d’Abidjan, qui nous rassemble ce jour.
Pour cette édition, m’a-t-on indiqué, on note la participation de 40 vendeurs internationaux, à savoir les distributeurs et producteurs globaux ou régionaux, dans les domaines :
- du contenu télévisé multiplateforme et multi-écrans (films, séries, téléréalités),
- du contenu sportif,
- du contenu pour enfants,
- et du documentaire, qui rencontreront 3 jours durant, plus de 150 acheteurs clefs, représentants pour la plupart des décisionnaires de la programmation et des acquisitions pour les plateformes de distribution les plus dynamiques d’Afrique francophone.
C’est donc dire, toute l’ambition de la Côte d’Ivoire, en accueillant cette importante rencontre, d’être une plaque tournante de l’industrie audiovisuelle, qui constitue une source importante de création de nouveaux emplois et de nouvelles ressources financières pour l’Etat.
Je voudrais avant de clore mon propos, indiquer que le Gouvernement ivoirien ne ménagera aucun effort pour combattre la contrefaçon de produits de l’industrie audiovisuelle et cinématographique, en raison de ses préjudices financiers et moraux important, afin de faire éclore tous les talents et permettre aux acteurs de ce secteur de vivre de leur art. La mise en place du BURIDA rénové (Bureau Ivoirien des Droits d’Auteurs) obéit en partie à cet objectif.
C’est sur cet engagement que je déclare ouverte la première édition de Discop d’Abidjan.
Je vous remercie de votre aimable attention.