Abidjan- L’Etat de Côte d’Ivoire a déjà mobilisé 37 milliards de francs CFA qui a permis de réaliser des travaux dans la première tranche du projet de sauvegarde et valorisation de la baie de Cocody, a révélé, mercredi, le coordonnateur du projet d’urgence d’infrastructures urbaines (PUIUR), Pierre Dimba.
"Le coût global évalué à plus de 137 milliards dont 37 milliards ont fait l’objet de mobilisation au niveau de l’Etat de Côte d’Ivoire avec l’appui de ses principaux partenaires a permis de réaliser dans la première tranche des travaux importants", a souligné Pierre Dimba à l’occasion de la signature de quatre conventions entre le Maroc et la Côte d’Ivoire pour la réalisation du projet de sauvegarde et valorisation de la baie de Cocody.
Selon le coordonnateur du PUIUR, les travaux de la première tranche ont permis la réhabilitation du collecteur principal et l’émission en mer des eaux usées du district d’Abidjan.
Ils ont également permis, a-t-il poursuivi, la réhabilitation de quatre barrages existant, la réalisation de quatre nouveaux barrages, la réhabilitation des canaux primaires de drainage, la réalisation des réseaux d’assainissement dans les quartiers d’Abobo, d’Adjamé et Treichville et le raccordement de 5000 ménages au réseau d’eaux usées en amont du carrefour Indénié.
"Le projet de sauvegarde et valorisation de la baie de Cocody d’un montant de 100 milliards qui seront financés dans le cadre de la coopération Côte d’Ivoire-Maroc, permettront de consolider et de renforcer les ouvrages de la première phase et amplifier leur impact", a souligné Pierre Dimba.
Ce projet nécessitera pour sa mise en œuvre, la démolition de l’ouvrage de construction actuelle et ses remblais d’accès au carrefour de l’Indénié et leur remplacement par un viaduc entre le boulevard de France et la Cathédrale St Paul.
Le remplacement des dalots existant au niveau du carrefour Indénié par un canal à ciel ouvert ainsi que les ouvrages de franchissement de ce canal, le réaménagement de l’échangeur de l’Indénié pour lui permettre d’évacuer plus facilement les différents flux pour un trafic estimés à 200.000 véhicules par jour.
La consolidation du chenal en cours de réalisation pour y inclure un arc urbain, ainsi que l’aménagement d’une marina.
La suppression des rejets d’eaux usées et des déchets solides dans tout le bassin du gourou, le déplacement des installations anarchiques dans le bassin et le long des ouvrages en vue de réaliser la coulée verte qui stabilisera les terres, les berges et favorisera les infiltrations et la reconstruction de la nappe d’Abidjan.
L’ouverture de plusieurs embouchures pour faciliter les échanges entre la lagune et la mer et contribuer à la dépollution de la baie.
kkf/tm
"Le coût global évalué à plus de 137 milliards dont 37 milliards ont fait l’objet de mobilisation au niveau de l’Etat de Côte d’Ivoire avec l’appui de ses principaux partenaires a permis de réaliser dans la première tranche des travaux importants", a souligné Pierre Dimba à l’occasion de la signature de quatre conventions entre le Maroc et la Côte d’Ivoire pour la réalisation du projet de sauvegarde et valorisation de la baie de Cocody.
Selon le coordonnateur du PUIUR, les travaux de la première tranche ont permis la réhabilitation du collecteur principal et l’émission en mer des eaux usées du district d’Abidjan.
Ils ont également permis, a-t-il poursuivi, la réhabilitation de quatre barrages existant, la réalisation de quatre nouveaux barrages, la réhabilitation des canaux primaires de drainage, la réalisation des réseaux d’assainissement dans les quartiers d’Abobo, d’Adjamé et Treichville et le raccordement de 5000 ménages au réseau d’eaux usées en amont du carrefour Indénié.
"Le projet de sauvegarde et valorisation de la baie de Cocody d’un montant de 100 milliards qui seront financés dans le cadre de la coopération Côte d’Ivoire-Maroc, permettront de consolider et de renforcer les ouvrages de la première phase et amplifier leur impact", a souligné Pierre Dimba.
Ce projet nécessitera pour sa mise en œuvre, la démolition de l’ouvrage de construction actuelle et ses remblais d’accès au carrefour de l’Indénié et leur remplacement par un viaduc entre le boulevard de France et la Cathédrale St Paul.
Le remplacement des dalots existant au niveau du carrefour Indénié par un canal à ciel ouvert ainsi que les ouvrages de franchissement de ce canal, le réaménagement de l’échangeur de l’Indénié pour lui permettre d’évacuer plus facilement les différents flux pour un trafic estimés à 200.000 véhicules par jour.
La consolidation du chenal en cours de réalisation pour y inclure un arc urbain, ainsi que l’aménagement d’une marina.
La suppression des rejets d’eaux usées et des déchets solides dans tout le bassin du gourou, le déplacement des installations anarchiques dans le bassin et le long des ouvrages en vue de réaliser la coulée verte qui stabilisera les terres, les berges et favorisera les infiltrations et la reconstruction de la nappe d’Abidjan.
L’ouverture de plusieurs embouchures pour faciliter les échanges entre la lagune et la mer et contribuer à la dépollution de la baie.
kkf/tm