Abidjan - La ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Kandia Camara, a exhorté samedi à la mairie de Yopougon, lors d’un panel portant sur la relation entre l'Etat, les parents et l'école, à une responsabilité partagée entre parents et Etat pour une éducation réussie des enfants.
Mme Camara a relevé que la plupart des familles interviennent « irrégulièrement dans l’éducation de leur enfants comptant sur l’école pour le suivi méthodique de leurs progénitures, or les responsabilités sont partagées ».
Elle a souligné que « la meilleure éducation sera toujours défectueuse », s’il n’y a pas l’apport de la famille qui doit être au centre du système éducatif notamment avant, pendant et après l’école, en accompagnant l’enfant jusqu'à l’âge adulte sans oublier de lui transmettre les valeurs cardinales entre autres, l’amour du travail, la dignité, le respect de l’autre, de soi, l’honnêteté, la discipline. Il faut « apprendre à l’enfant ce qu’il doit faire, ce qu’il ne doit pas faire, ce qui est toléré de ce qui ne l’est pas, », a-t-elle ajouté.
Par ailleurs, elle a mentionné que l’Etat assume sa part de responsabilités, à travers "les nombreuses actions initiées par le président Alassane Ouattara depuis quatre ans", entre autres, la construction de 15331 salles de classe, de 170 collèges et lycées, la livraison de 500 000 tables bancs, la prise en compte dans le programme scolaire de l’enseignement des Technologies de l’information et de la communication(TIC) et aussi de l’entreprenariat .
Kandia Camara a ajouté que le chef de l’Etat, dans ses projets de développement, compte rapprocher l’école des familles en construisant des collèges de proximité. Elle a en outre insisté sur la nouvelle loi qui sera bientôt votée en vue de rendre l’école obligatoire de six à 16 ans dès la rentrée prochaine.
La ministre Kandia s'exprimait ainsi en présence de son homologue de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, des personnalités politique et administrative, de la chefferie traditionnelle et des populations de ladite commune.
Cet échange à Yopougon ferme la série de panels initiés successivement depuis jeudi dans les communes de Port Bouët et Adjamé, en marge de la Journée internationale de la famille(JIFa) dont la célébration a été lancée le 15 mai dernier à Abidjan par la ministre Ouloto autour du thème « la famille au cœur de l’émergence de la Côte d’Ivoire ».
Ces rencontres qui ont été effectuées autour de différents thèmes et sous thèmes ont permis à des acteurs de l’administration publique, de présenter les acquis du gouvernement et les défis de l’émergence incombant aux familles. Ceux du secteur privé et de la société civile ont aussi proposé leurs offres et prestations. Et ce à travers des échanges et des recommandations en vue d’améliorer les conditions de vie des populations.
L’année 2015 marque le 21ième anniversaire de la Journée internationale de la Famille. En effet, c’est en 1989, à travers la résolution 44/82, que l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé l’année 1994 « année de la Famille ». Elle a également déclaré le 15 mai de chaque année « Journée internationale de la famille (JIFa) », depuis le 20 septembre 1993 en sa résolution 47/237.
La JIFa est donc une manifestation qui révèle l'importance que la communauté internationale attache à la famille, cellule de base de la société, ainsi que l'intérêt qu’elle porte à la situation des familles dans le monde.
amak/tm
Mme Camara a relevé que la plupart des familles interviennent « irrégulièrement dans l’éducation de leur enfants comptant sur l’école pour le suivi méthodique de leurs progénitures, or les responsabilités sont partagées ».
Elle a souligné que « la meilleure éducation sera toujours défectueuse », s’il n’y a pas l’apport de la famille qui doit être au centre du système éducatif notamment avant, pendant et après l’école, en accompagnant l’enfant jusqu'à l’âge adulte sans oublier de lui transmettre les valeurs cardinales entre autres, l’amour du travail, la dignité, le respect de l’autre, de soi, l’honnêteté, la discipline. Il faut « apprendre à l’enfant ce qu’il doit faire, ce qu’il ne doit pas faire, ce qui est toléré de ce qui ne l’est pas, », a-t-elle ajouté.
Par ailleurs, elle a mentionné que l’Etat assume sa part de responsabilités, à travers "les nombreuses actions initiées par le président Alassane Ouattara depuis quatre ans", entre autres, la construction de 15331 salles de classe, de 170 collèges et lycées, la livraison de 500 000 tables bancs, la prise en compte dans le programme scolaire de l’enseignement des Technologies de l’information et de la communication(TIC) et aussi de l’entreprenariat .
Kandia Camara a ajouté que le chef de l’Etat, dans ses projets de développement, compte rapprocher l’école des familles en construisant des collèges de proximité. Elle a en outre insisté sur la nouvelle loi qui sera bientôt votée en vue de rendre l’école obligatoire de six à 16 ans dès la rentrée prochaine.
La ministre Kandia s'exprimait ainsi en présence de son homologue de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, des personnalités politique et administrative, de la chefferie traditionnelle et des populations de ladite commune.
Cet échange à Yopougon ferme la série de panels initiés successivement depuis jeudi dans les communes de Port Bouët et Adjamé, en marge de la Journée internationale de la famille(JIFa) dont la célébration a été lancée le 15 mai dernier à Abidjan par la ministre Ouloto autour du thème « la famille au cœur de l’émergence de la Côte d’Ivoire ».
Ces rencontres qui ont été effectuées autour de différents thèmes et sous thèmes ont permis à des acteurs de l’administration publique, de présenter les acquis du gouvernement et les défis de l’émergence incombant aux familles. Ceux du secteur privé et de la société civile ont aussi proposé leurs offres et prestations. Et ce à travers des échanges et des recommandations en vue d’améliorer les conditions de vie des populations.
L’année 2015 marque le 21ième anniversaire de la Journée internationale de la Famille. En effet, c’est en 1989, à travers la résolution 44/82, que l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé l’année 1994 « année de la Famille ». Elle a également déclaré le 15 mai de chaque année « Journée internationale de la famille (JIFa) », depuis le 20 septembre 1993 en sa résolution 47/237.
La JIFa est donc une manifestation qui révèle l'importance que la communauté internationale attache à la famille, cellule de base de la société, ainsi que l'intérêt qu’elle porte à la situation des familles dans le monde.
amak/tm