Le ministre ivoirien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Gnamien Konan prend part, ce vendredi 5 juin, à la première réunion des ministres francophones de l’enseignement supérieur. Une rencontre qui porte sur le développement de l’espace numérique francophone.
La réunion de Paris permettra de dresser l’état des lieux des ressources numériques dans l’espace universitaire francophone. Il s’agira également d’évoquer les besoins et le rôle des universités et de réfléchir à une meilleure mutualisation des ressources existantes.
L’enjeu étant de favoriser l’introduction du numérique dans l’enseignement supérieur au sein de l’espace universitaire des pays de la francophonie. Et ce, afin de résoudre les difficultés liées à la gestion des effectifs croissants d’étudiants, au déficit d’enseignants, à la nécessité d’assurer un enseignement de qualité, au manque d’infrastructures académiques, au besoin d’offrir des cursus assurant une qualification professionnelle et à l’obligation d’adapter les formations supérieures aux besoins économiques des pays.
A noter qu’une quarantaine de délégations et trente-trois ministres francophones de l’enseignement supérieur participent aux débats. Ces derniers se déroulent, au centre de conférences ministériel du ministère des affaires étrangères et du développement international, en présence de représentants de l’organisation internationale de la Francophonie(OIF) et de l’agence universitaire de la Francophonie(AUF).
Au cours de la journée du 5 juin 2015, quatre sessions de travail ont été prévues. La première porte sur « l’état des ressources numériques », la seconde a trait à « le numérique comme outil d’innovation et de rénovation pédagogiques ». Quant à la troisième elle est orientée sur « les conditions matérielles et logistiques du développement numérique universitaire » et la quatrième parle des « conditions de financement du développement du numérique universitaire ».
A l’issue des sessions, les ministres adopteront une déclaration commune annonçant des mesures à cette fin. Une déclaration qui scellera la vision et les ambitions partagées entre l’ensemble des partenaires.
La réunion de Paris permettra de dresser l’état des lieux des ressources numériques dans l’espace universitaire francophone. Il s’agira également d’évoquer les besoins et le rôle des universités et de réfléchir à une meilleure mutualisation des ressources existantes.
L’enjeu étant de favoriser l’introduction du numérique dans l’enseignement supérieur au sein de l’espace universitaire des pays de la francophonie. Et ce, afin de résoudre les difficultés liées à la gestion des effectifs croissants d’étudiants, au déficit d’enseignants, à la nécessité d’assurer un enseignement de qualité, au manque d’infrastructures académiques, au besoin d’offrir des cursus assurant une qualification professionnelle et à l’obligation d’adapter les formations supérieures aux besoins économiques des pays.
A noter qu’une quarantaine de délégations et trente-trois ministres francophones de l’enseignement supérieur participent aux débats. Ces derniers se déroulent, au centre de conférences ministériel du ministère des affaires étrangères et du développement international, en présence de représentants de l’organisation internationale de la Francophonie(OIF) et de l’agence universitaire de la Francophonie(AUF).
Au cours de la journée du 5 juin 2015, quatre sessions de travail ont été prévues. La première porte sur « l’état des ressources numériques », la seconde a trait à « le numérique comme outil d’innovation et de rénovation pédagogiques ». Quant à la troisième elle est orientée sur « les conditions matérielles et logistiques du développement numérique universitaire » et la quatrième parle des « conditions de financement du développement du numérique universitaire ».
A l’issue des sessions, les ministres adopteront une déclaration commune annonçant des mesures à cette fin. Une déclaration qui scellera la vision et les ambitions partagées entre l’ensemble des partenaires.