Le directeur général du Conseil du café-cacao, Massandjé Touré-Litse et Lionel Soulard, Patron de Cargill, le géant de l’agroalimentaire ont procédé à l’inauguration des infrastructures de base dans le département d’Agnibilékro, le jeudi 11 juin dernier.
Lorsque le président de la République, Alassane Ouattara s’est engagé à réformer la filière café-cacao, deux de ses paris à en croire Massandjé Touré-Litse, Directeur général du Conseil du café-cacao, étaient d’une part, de garantir aux producteurs un prix bord champ équivalent à 60% du prix Caf. Et d’autre part, d’améliorer leurs conditions et cadre de vie. Les deux points sont prioritairement inscrits dans les missions du Conseil du café-cacao. C’est dans ce cadre, que Massandjé Touré-Litse, première responsable de ladite structure et Lionel Soulard, Directeur général de Cargill Afrique de l’Ouest, liés par le partenariat privé-public, ont procédé à l’inauguration des centres de santé, des écoles et logements des instituteurs, à Manzanouan, dans le département d’Agnibilékro, le jeudi 11 juin dernier. La cérémonie qui a réuni les responsables du Conseil du café-cacao, du géant américain de l’agroalimentaire, des présidents de coopératives, des autorités administratives, politiques, coutumières et les populations, a concerné la construction de onze écoles de trois classes avec 33 logements des instituteurs, onze cantines scolaires. Ainsi que la construction de trois centres de santé avec des logements d’infirmiers dans quatorze villages des zones de production de café et cacao. Le coût global du projet est de 1,1 milliard Fcfa. Ces projets ont été réalisés grâce au partenariat entre le Conseil du café-cacao, la société dirigée par Soulard et des sociétés coopératives du secteur. Cette collaboration qui s’inscrit dans le cadre des actions de la plateforme de partenariat public-privé (Pppp) fait l’objet d’un protocole d’accord signé par le Conseil du café-cacao et ladite société américaine de l’agro-business, en avril 2014 selon Massandjé Touré-Litse. C’est donc à travers la Pppp que la somme de 1,1 milliard Fcfa nécessaire au financement de ces infrastructures a pu être mobilisée avec les contributions suivantes : 48, 10 % apportés par le Conseil du café-cacao, 33, 12% par la société Cargill et 18,78 par les sociétés coopératives. Le directeur général du Conseil de régulation, de stabilisation et de développement de la filière café-cacao, a exprimé toute sa gratitude à Cargill et principalement à son directeur général Lionel Soulard, qui a cru à la vision des responsables de la filière concernant la Pppp. La remise de clés des infrastructures à ces 14 villages, constitue le résultat éloquent de l’adhésion de la société américaine à la vision du Conseil du café-cacao, sur la nécessité de mettre en commun les ressources techniques et financières en vue d’améliorer le cadre de vie et les conditions de travail des producteurs de cacao. A travers cette cérémonie, Massandjé Touré-Litse a lancé un appel aux autres acteurs de la filière qui n’ont pas encore signé de protocole d’accord avec le Conseil du café-cacao de bien vouloir rejoindre la plateforme afin d’œuvrer ensemble au développement durable de la filière et sortir les producteurs de l’ornière comme le souhaite le Président Alassane Ouattara. Aux sociétés coopératives qui ont participé à ce projet, elle leur a témoigné toute sa reconnaissance et demandé de prendre soin de ces ouvrages et de les gérer en parfaite intelligence et collaboration avec les communautés locales. Grâce à ces écoles construites, ce sont plus de 1500 élèves qui auront droit à l’école. Elle a également rendu hommage à la Première dame, Dominique Ouattara qui œuvre dans le cadre du plan d’action national de lutte contre l’exploitation et le travail des enfants. En dehors de ces réalisations, le Conseil du café-cacao a financé la construction de sept écoles, trois classes, quatorze logements d’instituteurs et onze cantines pour un montant de 379 981 448 Fcfa. Le Directeur général du café-cacao a également rappelé qu’à travers cette plateforme de partenariat public-privé, sa structure a mobilisé plus de 24 milliards Fcfa par la signature de quatorze protocoles d’accord avec le secteur privé, dont celui signé avec la direction ouest-africaine du géant américain de l’agroalimentaire. Le dernier en date est celui signé, le lundi 18 mai dernier, avec le Groupe Cemoi. Lionel Soulard s’est réjoui de la signature de cet accord, car le projet permettra à plus de 5000 personnes d’avoir accès au soin et plus de 1500 enfants à avoir droit à l’éducation. Avant de remercier le directeur général du Conseil du café-cacao qui fait du développement des zones productrices du café et du cacao son cheval de bataille. Il faut rappeler que le Fonds d’investissement en milieu rural (Fimr) a investi plus de 30 milliards Fcfa dans l’éducation, la santé, l’électricité, l’eau potable, la sécurité entre autres. 1309 milliards Fcfa ont été distribués aux producteurs pendant la campagne 2013-2014. Les autorités administratives et politiques ont salué le bon travail abattu par le Conseil du café-cacao, depuis la mise en place de la nouvelle réforme.
Romaric SAKO envoyé spécial à Agnibilékro
Lorsque le président de la République, Alassane Ouattara s’est engagé à réformer la filière café-cacao, deux de ses paris à en croire Massandjé Touré-Litse, Directeur général du Conseil du café-cacao, étaient d’une part, de garantir aux producteurs un prix bord champ équivalent à 60% du prix Caf. Et d’autre part, d’améliorer leurs conditions et cadre de vie. Les deux points sont prioritairement inscrits dans les missions du Conseil du café-cacao. C’est dans ce cadre, que Massandjé Touré-Litse, première responsable de ladite structure et Lionel Soulard, Directeur général de Cargill Afrique de l’Ouest, liés par le partenariat privé-public, ont procédé à l’inauguration des centres de santé, des écoles et logements des instituteurs, à Manzanouan, dans le département d’Agnibilékro, le jeudi 11 juin dernier. La cérémonie qui a réuni les responsables du Conseil du café-cacao, du géant américain de l’agroalimentaire, des présidents de coopératives, des autorités administratives, politiques, coutumières et les populations, a concerné la construction de onze écoles de trois classes avec 33 logements des instituteurs, onze cantines scolaires. Ainsi que la construction de trois centres de santé avec des logements d’infirmiers dans quatorze villages des zones de production de café et cacao. Le coût global du projet est de 1,1 milliard Fcfa. Ces projets ont été réalisés grâce au partenariat entre le Conseil du café-cacao, la société dirigée par Soulard et des sociétés coopératives du secteur. Cette collaboration qui s’inscrit dans le cadre des actions de la plateforme de partenariat public-privé (Pppp) fait l’objet d’un protocole d’accord signé par le Conseil du café-cacao et ladite société américaine de l’agro-business, en avril 2014 selon Massandjé Touré-Litse. C’est donc à travers la Pppp que la somme de 1,1 milliard Fcfa nécessaire au financement de ces infrastructures a pu être mobilisée avec les contributions suivantes : 48, 10 % apportés par le Conseil du café-cacao, 33, 12% par la société Cargill et 18,78 par les sociétés coopératives. Le directeur général du Conseil de régulation, de stabilisation et de développement de la filière café-cacao, a exprimé toute sa gratitude à Cargill et principalement à son directeur général Lionel Soulard, qui a cru à la vision des responsables de la filière concernant la Pppp. La remise de clés des infrastructures à ces 14 villages, constitue le résultat éloquent de l’adhésion de la société américaine à la vision du Conseil du café-cacao, sur la nécessité de mettre en commun les ressources techniques et financières en vue d’améliorer le cadre de vie et les conditions de travail des producteurs de cacao. A travers cette cérémonie, Massandjé Touré-Litse a lancé un appel aux autres acteurs de la filière qui n’ont pas encore signé de protocole d’accord avec le Conseil du café-cacao de bien vouloir rejoindre la plateforme afin d’œuvrer ensemble au développement durable de la filière et sortir les producteurs de l’ornière comme le souhaite le Président Alassane Ouattara. Aux sociétés coopératives qui ont participé à ce projet, elle leur a témoigné toute sa reconnaissance et demandé de prendre soin de ces ouvrages et de les gérer en parfaite intelligence et collaboration avec les communautés locales. Grâce à ces écoles construites, ce sont plus de 1500 élèves qui auront droit à l’école. Elle a également rendu hommage à la Première dame, Dominique Ouattara qui œuvre dans le cadre du plan d’action national de lutte contre l’exploitation et le travail des enfants. En dehors de ces réalisations, le Conseil du café-cacao a financé la construction de sept écoles, trois classes, quatorze logements d’instituteurs et onze cantines pour un montant de 379 981 448 Fcfa. Le Directeur général du café-cacao a également rappelé qu’à travers cette plateforme de partenariat public-privé, sa structure a mobilisé plus de 24 milliards Fcfa par la signature de quatorze protocoles d’accord avec le secteur privé, dont celui signé avec la direction ouest-africaine du géant américain de l’agroalimentaire. Le dernier en date est celui signé, le lundi 18 mai dernier, avec le Groupe Cemoi. Lionel Soulard s’est réjoui de la signature de cet accord, car le projet permettra à plus de 5000 personnes d’avoir accès au soin et plus de 1500 enfants à avoir droit à l’éducation. Avant de remercier le directeur général du Conseil du café-cacao qui fait du développement des zones productrices du café et du cacao son cheval de bataille. Il faut rappeler que le Fonds d’investissement en milieu rural (Fimr) a investi plus de 30 milliards Fcfa dans l’éducation, la santé, l’électricité, l’eau potable, la sécurité entre autres. 1309 milliards Fcfa ont été distribués aux producteurs pendant la campagne 2013-2014. Les autorités administratives et politiques ont salué le bon travail abattu par le Conseil du café-cacao, depuis la mise en place de la nouvelle réforme.
Romaric SAKO envoyé spécial à Agnibilékro
