M. Moussa Dosso, ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle était le mardi 16 juin 2015 au CETI (Collège d’enseignement technique et industriel) de Marcory où il a procédé au lancement des examens dans son département. Le thème qui portait sur la gente féminine, l’a amené lors de sa déclaration à la presse à dérouler sa vision pour leur meilleure intégration.
Le ministre Moussa Dosso dans les classes d’examens où il est passé a salué candidats et examinateurs et leur a demandé de travailler dans la probité. Il a été très sensible au sujet sur l’épreuve de Technique d’Expression proposé aux candidats : « femmes, le combat continue ». Par rapport au sujet proposé aux candidats pour les épreuves de BT (Brevet de Techniciens), Moussa Dosso a indiqué que leur espoir aujourd’hui, c’est qu’il y ait un peu plus de femmes dans les filières industrielles. « Le pourcentage dans ces filières est très bas, environ 16%. Mais le Président de la République a donné des instructions pour qu’on ouvre de plus en plus ces filières à nos jeunes sœurs. Et c’est ce que nous essayons de faire depuis pratiquement trois ans. Il est vrai que les objectifs dans ce sens n’ont pas encore été atteints, mais nous allons y faire face », a souligné le ministre. Toutefois, il a nuancé les tendances en affirmant qu’au niveau du dispositif général, on comptait pour les 17.000 étudiants au sein de la formation professionnelle, 52% de garçons pour 48% de filles. « Nous arrivons vers la parité, seulement la présence des filles est plus concentrée dans les filières tertiaires. C'est-à-dire tout ce qui touche, le secrétariat, la comptabilité, etc. L’objectif, c’est que ce groupe puisse aller progressivement vers lez filières industrielles et nous travaillons à ramener leur présence vers 25 à 30 % dans les 2 à 3 années à venir », a-t-il espéré. Selon lui, la reforme d’ailleurs de la formation professionnelle va permettre d’ouvrir ces filières aux filles.
L’autre sujet abordé a été celui de la fraude. « En ce qui concerne la tricherie, nous avons pris avant ces examens un cas pratique au Lycée Professionnel de Jacqueville. Et nous avons lancé les mots pour que ce phénomène de plus en plus présent dans notre environnement puisse disparaitre. C’est vrai que c’est difficile, mais de gros efforts ont été faits cette année et, vous ferai qu’à la suite des proclamations des résultats, on aura certainement approché, le zéro faute », a promis le ministre.
Olivier Guédé
Le ministre Moussa Dosso dans les classes d’examens où il est passé a salué candidats et examinateurs et leur a demandé de travailler dans la probité. Il a été très sensible au sujet sur l’épreuve de Technique d’Expression proposé aux candidats : « femmes, le combat continue ». Par rapport au sujet proposé aux candidats pour les épreuves de BT (Brevet de Techniciens), Moussa Dosso a indiqué que leur espoir aujourd’hui, c’est qu’il y ait un peu plus de femmes dans les filières industrielles. « Le pourcentage dans ces filières est très bas, environ 16%. Mais le Président de la République a donné des instructions pour qu’on ouvre de plus en plus ces filières à nos jeunes sœurs. Et c’est ce que nous essayons de faire depuis pratiquement trois ans. Il est vrai que les objectifs dans ce sens n’ont pas encore été atteints, mais nous allons y faire face », a souligné le ministre. Toutefois, il a nuancé les tendances en affirmant qu’au niveau du dispositif général, on comptait pour les 17.000 étudiants au sein de la formation professionnelle, 52% de garçons pour 48% de filles. « Nous arrivons vers la parité, seulement la présence des filles est plus concentrée dans les filières tertiaires. C'est-à-dire tout ce qui touche, le secrétariat, la comptabilité, etc. L’objectif, c’est que ce groupe puisse aller progressivement vers lez filières industrielles et nous travaillons à ramener leur présence vers 25 à 30 % dans les 2 à 3 années à venir », a-t-il espéré. Selon lui, la reforme d’ailleurs de la formation professionnelle va permettre d’ouvrir ces filières aux filles.
L’autre sujet abordé a été celui de la fraude. « En ce qui concerne la tricherie, nous avons pris avant ces examens un cas pratique au Lycée Professionnel de Jacqueville. Et nous avons lancé les mots pour que ce phénomène de plus en plus présent dans notre environnement puisse disparaitre. C’est vrai que c’est difficile, mais de gros efforts ont été faits cette année et, vous ferai qu’à la suite des proclamations des résultats, on aura certainement approché, le zéro faute », a promis le ministre.
Olivier Guédé
