Agboville - Le chef d’Etat major général des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), Soumaïla Bakayoko, représenté par le colonel Akouassa N’Guessan, a appuyé, jeudi, à Agboville, le plaidoyer de haut niveau contre les violences sexuelles liées aux conflits pour lequel un atelier à l'intention d'une soixantaine de commandants d'unités est initié par l'opération des Nations unies en Côte d'ivoire (ONUCI).
"C’est l’occasion pour nous, Forces Républicaines de Côte d’Ivoire, de prendre des engagements fermes devant toute la nation, pour respecter un code de conduite par rapport à ces violences sexuelles", a déclaré le colonel Akouassa, au nom du général de corps d'armée Soumaïla Bakayoko.
L’émissaire de la haute hiérarchie militaire assure que le thème "violence sexuelle" interpelle, en période de crise ou non, aussi bien le haut commandement militaire (les chefs) que les commandants d’unités qui ont la charge de conduire les hommes sur les champs de bataille, et terrain d’opérations.
Il a rappelé aux soldatx ivoiriens, qu’ils devront prévenir ou alerter l’Etat major général des FRCI de tout risque, menaces potentielles, allégations de violences sexuelles, y compris celles liées aux conflits et y chercher conseils/avis pour la réponse à y apporter.
L’officier supérieur a tenu à réaffirmer l’engagement de la première autorité militaire du pays, à respecter les dispositions prévues par le code de déontologie et la charte d’éthique du militaire en matière de violences sexuelles liées aux conflits, ainsi que les neuf points du code de conduite du soldat ivoirien.
Les FRCI ont été citées dans les rapports 2012, 2013 et 2014 du secrétaire général des Nations unies, et se doivent de prendre des engagements concrets, et montrer qu’elles peuvent en être retirées, a insisté le colonel Akouassa.
La conseillère pour la protection des femmes à la division des droits de l’homme de l'ONUCI, Caroline Allibert-Delestras a fait savoir que l'objectif de l'atelier est de relever l’urgence de travailler et prendre des engagements concrets à retirer la Côte d’Ivoire et notamment les FRCI des rapports du secrétaire général des Nations unies.
L’atelier prend fin vendredi à Agboville.
(AIP)
dd/akn/ask
"C’est l’occasion pour nous, Forces Républicaines de Côte d’Ivoire, de prendre des engagements fermes devant toute la nation, pour respecter un code de conduite par rapport à ces violences sexuelles", a déclaré le colonel Akouassa, au nom du général de corps d'armée Soumaïla Bakayoko.
L’émissaire de la haute hiérarchie militaire assure que le thème "violence sexuelle" interpelle, en période de crise ou non, aussi bien le haut commandement militaire (les chefs) que les commandants d’unités qui ont la charge de conduire les hommes sur les champs de bataille, et terrain d’opérations.
Il a rappelé aux soldatx ivoiriens, qu’ils devront prévenir ou alerter l’Etat major général des FRCI de tout risque, menaces potentielles, allégations de violences sexuelles, y compris celles liées aux conflits et y chercher conseils/avis pour la réponse à y apporter.
L’officier supérieur a tenu à réaffirmer l’engagement de la première autorité militaire du pays, à respecter les dispositions prévues par le code de déontologie et la charte d’éthique du militaire en matière de violences sexuelles liées aux conflits, ainsi que les neuf points du code de conduite du soldat ivoirien.
Les FRCI ont été citées dans les rapports 2012, 2013 et 2014 du secrétaire général des Nations unies, et se doivent de prendre des engagements concrets, et montrer qu’elles peuvent en être retirées, a insisté le colonel Akouassa.
La conseillère pour la protection des femmes à la division des droits de l’homme de l'ONUCI, Caroline Allibert-Delestras a fait savoir que l'objectif de l'atelier est de relever l’urgence de travailler et prendre des engagements concrets à retirer la Côte d’Ivoire et notamment les FRCI des rapports du secrétaire général des Nations unies.
L’atelier prend fin vendredi à Agboville.
(AIP)
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