Tabou - Le stade municipal de Tabou et l'école maternelle du quartier "kablaké" de la localité sont occupés depuis la crise postélectorale respectivement par les casques bleus de l'Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) et les forces de sécurité ivoiriennes, malgré la décision gouvernementale de libérer tous les sites.
Par contre, l'hôtel "campement " de Tabou, le siège local du front populaire ivoirien (FPI) et plusieurs domiciles qui étaient également occupés par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) ont été libérés, il y a quelques années.
Le stade de football de Tabou doté d'une tribune d'environ deux mille places et d'une belle pelouse était avant son occupation, le stade d'entraînement de l'équipe locale, le "Djibétoa de Tabou " et le lieu de la plupart des activités sportives de la population et des manifestations socioculturelles et sportives de la jeunesse.
"Notre souhait est que notre stade et cette maternelle soient libérés pour que la vie revienne à la normale à Tabou parce que la crise postélectorale est un mauvais souvenir qu'on veut vite oublier ", ont indiqué jeudi à l'AIP, des habitants de Tabou qui apprécient les efforts faits par le gouvernement ivoirien pour rendre les différents sites occupés à leurs propriétaires.
bb/fmo/ask
Par contre, l'hôtel "campement " de Tabou, le siège local du front populaire ivoirien (FPI) et plusieurs domiciles qui étaient également occupés par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) ont été libérés, il y a quelques années.
Le stade de football de Tabou doté d'une tribune d'environ deux mille places et d'une belle pelouse était avant son occupation, le stade d'entraînement de l'équipe locale, le "Djibétoa de Tabou " et le lieu de la plupart des activités sportives de la population et des manifestations socioculturelles et sportives de la jeunesse.
"Notre souhait est que notre stade et cette maternelle soient libérés pour que la vie revienne à la normale à Tabou parce que la crise postélectorale est un mauvais souvenir qu'on veut vite oublier ", ont indiqué jeudi à l'AIP, des habitants de Tabou qui apprécient les efforts faits par le gouvernement ivoirien pour rendre les différents sites occupés à leurs propriétaires.
bb/fmo/ask