Le ministre Gnamien Konan a ouvert l’atelier d’échanges et de partage des politiques de développement de l’enseignement supérieur. C’était le mercredi 17 juin dernier, à la représentation de la Banque Mondiale, sis à Abidjan-Cocody. Cette rencontre a été initiée en vue de diagnostiquer les problèmes qui minent nos systèmes d’enseignement supérieur. En présence du ministre sénégalais de l’enseignement supérieur et de la recherche, M. Mary Teuw Niane, les systèmes d’enseignement supérieur des deux pays d’Afrique ont été passés au scanner.
Il ressort des débats que lesdits systèmes d’enseignement supérieur doivent impérativement relever de nombreux défis. Notamment, la massification des étudiants qui engendre un déficit d’enseignants, l’efficacité interne des Unités de Formation et de Recherche(UFR), l’efficacité externe des produits de ces UFRs, le faible taux d’insertion professionnelle des diplômés. A cela, il faut ajouter la décrédibilisation du système de l’enseignement supérieur, l’épineux problème de son financement, le faible niveau des équipements dans les laboratoires.
Il va sans dire que tous ces maux posent la problématique de la pertinence et de la qualité de nos systèmes d’enseignement supérieur. S’agissant du volet pertinence, il se pose en termes d’adéquation de la formation-emploi, tandis que celui de la qualité se traduit par le niveau des infrastructures actuelles.
C’est pourquoi, l’introduction des technologies de l’information et de la communication(TIC) s’avère indispensable dans la résolution des défis de la pertinence et de la qualité de nos systèmes d’enseignement supérieur.
Par ailleurs, en tant que principal utilisateur des produits de la formation de qualité, « J’invite le secteur privé à s’intéresser à nos établissements de formation. Aidez-nous dans le financement et la réforme des curricula », a plaidé le Ministre Gnamien Konan de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique de côte d’ivoire.
L’atelier qui a pris fin le jeudi 18 juin a permis d’élaborer une feuille de route pour rendre plus dynamique l’enseignement supérieur en Côte d’Ivoire.
Il ressort des débats que lesdits systèmes d’enseignement supérieur doivent impérativement relever de nombreux défis. Notamment, la massification des étudiants qui engendre un déficit d’enseignants, l’efficacité interne des Unités de Formation et de Recherche(UFR), l’efficacité externe des produits de ces UFRs, le faible taux d’insertion professionnelle des diplômés. A cela, il faut ajouter la décrédibilisation du système de l’enseignement supérieur, l’épineux problème de son financement, le faible niveau des équipements dans les laboratoires.
Il va sans dire que tous ces maux posent la problématique de la pertinence et de la qualité de nos systèmes d’enseignement supérieur. S’agissant du volet pertinence, il se pose en termes d’adéquation de la formation-emploi, tandis que celui de la qualité se traduit par le niveau des infrastructures actuelles.
C’est pourquoi, l’introduction des technologies de l’information et de la communication(TIC) s’avère indispensable dans la résolution des défis de la pertinence et de la qualité de nos systèmes d’enseignement supérieur.
Par ailleurs, en tant que principal utilisateur des produits de la formation de qualité, « J’invite le secteur privé à s’intéresser à nos établissements de formation. Aidez-nous dans le financement et la réforme des curricula », a plaidé le Ministre Gnamien Konan de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique de côte d’ivoire.
L’atelier qui a pris fin le jeudi 18 juin a permis d’élaborer une feuille de route pour rendre plus dynamique l’enseignement supérieur en Côte d’Ivoire.