Abidjan - L’Union européenne dénonce l’impasse politique au Burundi et menace de sanctions ciblées les responsables "d’actes de violences et de répression" ou ceux qui "entraveraient la recherche d’une solution politique".
"L’impasse politique au Burundi, la dégradation de la situation sécuritaire et économique, comportent des effets graves pour la population et des risques pour la région toute entière", indiquent les ministres des Affaires étrangères de l’UE, réunis à Luxembourg, repris par les médias occidentaux.
Selon les médias, les ministres demandent à la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, "d’initier un travail préparatoire" sur les sanctions qu’ils pourraient imposer.
Le Burundi est en proie à une série d’attaques, ayant fait au moins 70 morts depuis l’annonce en avril, du président Pierre N’kuruziza de briguer un troisième mandat.
Les récentes attaques ont eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi à Bunjumbura et à Ngozi, ville natale du Président et ont fait quatre morts et 25 blessés.
(AIP)
kam
"L’impasse politique au Burundi, la dégradation de la situation sécuritaire et économique, comportent des effets graves pour la population et des risques pour la région toute entière", indiquent les ministres des Affaires étrangères de l’UE, réunis à Luxembourg, repris par les médias occidentaux.
Selon les médias, les ministres demandent à la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, "d’initier un travail préparatoire" sur les sanctions qu’ils pourraient imposer.
Le Burundi est en proie à une série d’attaques, ayant fait au moins 70 morts depuis l’annonce en avril, du président Pierre N’kuruziza de briguer un troisième mandat.
Les récentes attaques ont eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi à Bunjumbura et à Ngozi, ville natale du Président et ont fait quatre morts et 25 blessés.
(AIP)
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