Tiassalé - Un ouvrier agricole, Kouakou Konan Blackson, 35 ans, a été déféré, lundi, devant le parquet du tribunal de première instance de Tiassalé par la brigade de gendarmerie de Tiassalé pour le viol d'une fillette de neuf ans, a appris l’AIP de source sécuritaire.
Le présumé violeur a été interpellé dimanche dans son village de Broubrou (N’Douci) et admis en garde à vue à la Brigade de Gendarmerie de Tiassalé pour être entendu sur les faits de viol sur dénonciation de la victime née en 2006.
Selon les explications de la fillette, elle aurait été violée le 15 juin vers 14heures lorsqu’elle est entrée dans la chambre du voisin Kouakou Konan qu’elle appelle "Tonton", pour faire coucher le fils de deux ans de celui-ci.
C’est en ce moment qu’il l’a suivie, a refermé la porte derrière eux, l’a menacée de mort avant de la violer. Ce n’est que trois jours après les faits que les tuteurs de la petite se rendent compte du changement de son attitude. Pressée de questions, elle avoue les faits et accuse leur voisin qui va d’abord les nier.
C’est en ce moment que la gendarmerie est saisie. Tôt dimanche, il est pris à son domicile et conduit à la brigade. Parallèlement, la fillette est conduite à l’hôpital général de Tiassalé où après des examens, un certificat médical confirme des violences sexuelles qu’elle a subies.
Le mis en cause finit par reconnaître les faits qui lui sont reprochés à la brigade de gendarmerie d’où il est transféré devant les tribunaux pour répondre de ses actes.
(AIP)
kd/fmo/akn/ask
Le présumé violeur a été interpellé dimanche dans son village de Broubrou (N’Douci) et admis en garde à vue à la Brigade de Gendarmerie de Tiassalé pour être entendu sur les faits de viol sur dénonciation de la victime née en 2006.
Selon les explications de la fillette, elle aurait été violée le 15 juin vers 14heures lorsqu’elle est entrée dans la chambre du voisin Kouakou Konan qu’elle appelle "Tonton", pour faire coucher le fils de deux ans de celui-ci.
C’est en ce moment qu’il l’a suivie, a refermé la porte derrière eux, l’a menacée de mort avant de la violer. Ce n’est que trois jours après les faits que les tuteurs de la petite se rendent compte du changement de son attitude. Pressée de questions, elle avoue les faits et accuse leur voisin qui va d’abord les nier.
C’est en ce moment que la gendarmerie est saisie. Tôt dimanche, il est pris à son domicile et conduit à la brigade. Parallèlement, la fillette est conduite à l’hôpital général de Tiassalé où après des examens, un certificat médical confirme des violences sexuelles qu’elle a subies.
Le mis en cause finit par reconnaître les faits qui lui sont reprochés à la brigade de gendarmerie d’où il est transféré devant les tribunaux pour répondre de ses actes.
(AIP)
kd/fmo/akn/ask
