La Banque mondiale "veut réduire les coûts des transactions le long de l’important corridor commercial entre Abidjan et Ouagadougou, à travers une série de réformes communes et coordonnées dans le transport routier, les ports maritimes et les points d’entrées terrestres, les procédures de dédouanement et les postes-frontières de chacun des pays". C’est pour cette raison que son Conseil d’administration a approuvé un crédit de 50 milliards de Fcfa à la Côte d’Ivoire et au Burkina Faso pour faciliter les échanges commerciaux entre les deux pays.
Cet appui, financé par l’Association internationale de développement (filiale de la Banque mondiale), est considéré par la banque comme « une opération inédite » du fait de son caractère régional. Car, c’est... suite de l'article sur Fraternité Matin
Cet appui, financé par l’Association internationale de développement (filiale de la Banque mondiale), est considéré par la banque comme « une opération inédite » du fait de son caractère régional. Car, c’est... suite de l'article sur Fraternité Matin