Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le Directeur général du désormais ex-Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration (ADDR) des ex-combattants, Fidèle Sarassoro vient d'être nommé au poste de Chef de cabinet du Président Alassane Ouattara, a appris APA, jeudi, de bonne source auprès de la présidence ivoirienne.
Selon cette source M. Sarassoro remplace à ce poste Sidi Touré nommé récemment Ministre délégué auprès du Président de la République, chargé de la Promotion de la jeunesse et de l'emploi des jeunes.
Le gouvernement ivoirien a annoncé, mercredi, avoir mis fin aux activités de l'ADDR, jusque-là dirigée par Fidèle Sarassoro. L'ADDR est remplacée par la Cellule de coordination et de réintégration sociale (CCRS), placée sous la tutelle du Conseil national de la sécurité (CNS).
Cette nouvelle cellule se chargera de l'accompagnement et du suivi des ex-combattants. Après trois ans d'exercice, l'ADDR a achevé sa mission en réintégrant quelque 55 000 ex-combattants, soit un taux de réintégration de 85%.
« Sur un fichier de 74 000 personnes, 10 000 personnes ont réussi par leur propre moyen à trouver une activité. 55 000 ont été recasées », a expliqué le porte-parole du gouvernement Bruno Nabagné Koné, se félicitant que « c'est un succès dans une telle opération ».
L'opération de désarmement, de démobilisation et de réintégration (ADDR) des ex-combattants prend fin le 30 juin prochain.
LS
Selon cette source M. Sarassoro remplace à ce poste Sidi Touré nommé récemment Ministre délégué auprès du Président de la République, chargé de la Promotion de la jeunesse et de l'emploi des jeunes.
Le gouvernement ivoirien a annoncé, mercredi, avoir mis fin aux activités de l'ADDR, jusque-là dirigée par Fidèle Sarassoro. L'ADDR est remplacée par la Cellule de coordination et de réintégration sociale (CCRS), placée sous la tutelle du Conseil national de la sécurité (CNS).
Cette nouvelle cellule se chargera de l'accompagnement et du suivi des ex-combattants. Après trois ans d'exercice, l'ADDR a achevé sa mission en réintégrant quelque 55 000 ex-combattants, soit un taux de réintégration de 85%.
« Sur un fichier de 74 000 personnes, 10 000 personnes ont réussi par leur propre moyen à trouver une activité. 55 000 ont été recasées », a expliqué le porte-parole du gouvernement Bruno Nabagné Koné, se félicitant que « c'est un succès dans une telle opération ».
L'opération de désarmement, de démobilisation et de réintégration (ADDR) des ex-combattants prend fin le 30 juin prochain.
LS