Le Ministère de l'Environnement, de la Salubrité Urbaine et du Développement Durable (MINESUDD) par le biais du Centre Ivoirien Antipollution (CIAPOL) a entrepris d'établir la carte de vulnérabilité du Littoral ivoirien. Il s'agit d’une banque de données, sorte d'Atlas disponible au CIAPOL en cas de pollution par hydrocarbures que nécessite une intervention urgente tant nationale qu'internationale.
Pour ce faire, le CIAPOL a réuni une équipe pluridisciplinaire d'experts du MINESUDD, du CIAPOL, du CURAT, du BNETD, de l'Université Houphouët-Boigny de Cocody et du Centre de Recherche Océanologique (CRO) afin d'établir sur tout le littoral allant de la frontière du Ghana à celle du Liberia, une carte des zones sensibles à protéger. Du 23 au 25 juin dernier, la première mission dirigée par le Dr Dibi N’Da Hyppolite a parcouru le littoral allant de la frontière ghanéenne jusqu’à celle de Grand-Bassam, précisément dans le village de Babianiha. Cette première activité a permis à l’équipe d’experts de vérifier les données satellitaires, recueillir et recenser le dispositif dans chaque village et la praticabilité des pistes menant à notre littoral en cas d’urgence.
Dans ce village situé entre la mer et la lagune, Dr Dibi et son équipe ont pu échanger avec des personnes ressources dont la chefferie traditionnelle avec Enoh Jean et le président des Jeunes en la personne d’Aka Kadjo Jean-Louis. Ces différents responsables ont marqué leur satisfaction face à cette démarche du CIAPOL qui veut prévenir les catastrophes accidentelles. Cependant, ils ont profité de la présence des experts pour rappeler les différentes démarches menées en vue de quitter ce site à cause des incessantes menaces dues à la marée haute qui pourrait engloutir tout le village.
Quant au Commissaire de Police et chef de service d’Assinie, Dao Soridio, présent sur les lieux, il a assuré les experts de la disponibilité de la police en mission dans cette zone, à apporter son soutien aux acteurs en charge de la mise en œuvre du Plan POLLUMAR. Ce, en cas de déversement accidentel d’hydrocarbures en mer ou en lagune sur le littoral d’Assinie.
Durant trois jours, les experts ont pu recueillir des données importantes les unes que les autres et susceptibles de participer à la réalisation de la carte de vulnérabilité du littoral ivoirien.
O.D
Pour ce faire, le CIAPOL a réuni une équipe pluridisciplinaire d'experts du MINESUDD, du CIAPOL, du CURAT, du BNETD, de l'Université Houphouët-Boigny de Cocody et du Centre de Recherche Océanologique (CRO) afin d'établir sur tout le littoral allant de la frontière du Ghana à celle du Liberia, une carte des zones sensibles à protéger. Du 23 au 25 juin dernier, la première mission dirigée par le Dr Dibi N’Da Hyppolite a parcouru le littoral allant de la frontière ghanéenne jusqu’à celle de Grand-Bassam, précisément dans le village de Babianiha. Cette première activité a permis à l’équipe d’experts de vérifier les données satellitaires, recueillir et recenser le dispositif dans chaque village et la praticabilité des pistes menant à notre littoral en cas d’urgence.
Dans ce village situé entre la mer et la lagune, Dr Dibi et son équipe ont pu échanger avec des personnes ressources dont la chefferie traditionnelle avec Enoh Jean et le président des Jeunes en la personne d’Aka Kadjo Jean-Louis. Ces différents responsables ont marqué leur satisfaction face à cette démarche du CIAPOL qui veut prévenir les catastrophes accidentelles. Cependant, ils ont profité de la présence des experts pour rappeler les différentes démarches menées en vue de quitter ce site à cause des incessantes menaces dues à la marée haute qui pourrait engloutir tout le village.
Quant au Commissaire de Police et chef de service d’Assinie, Dao Soridio, présent sur les lieux, il a assuré les experts de la disponibilité de la police en mission dans cette zone, à apporter son soutien aux acteurs en charge de la mise en œuvre du Plan POLLUMAR. Ce, en cas de déversement accidentel d’hydrocarbures en mer ou en lagune sur le littoral d’Assinie.
Durant trois jours, les experts ont pu recueillir des données importantes les unes que les autres et susceptibles de participer à la réalisation de la carte de vulnérabilité du littoral ivoirien.
O.D
