La prise en charge des policiers malades et blessés en mission commandée est très onéreuse pour le Fonds de Prévoyance de la Police Nationale (FPPN). Et la structure n’en a plus les moyens.
Aussi, le directeur général du FPPN, le Commissaire principal Amouyé Kadjané Jacques n’y est pas allé avec le dos de la cuillère, pour exposer les difficultés auxquelles sa structure est confrontée. C’était lors de l’Assemblée générale ordinaire de ce fonds tenue vendredi denier à l’Ecole nationale de police à Cocody. Le Dg du FPPN a ainsi relevé que les coûts des prises en charge des policiers malades et blessés en mission commandée crèvent à la limite le budget du fonds. Les arriérés relatifs à ces prises en charge, selon le Commissaire principal Kadjané se chiffrent à plus de 2,732 milliards FCFA de 2001 à juin 2015. Et le fonds a besoin, pour le même chapitre, d’un milliard FCFA pour l’année 2016. « (…) Cette dotation va permettre au FPPN de poursuivre ses interventions médico-chirurgicales et urgentes en direction des fonctionnaires de police et de leurs ayant- droits », a-t-il expliqué. Le Dg du FPPN a donc plaidé pour un appui budgétaire auprès du Gouvernement.
Ce, pour renforcer les capacités opérationnelles des structures sanitaires.
Pour le premier responsable du fonds de la police nationale, une convention de concession de service public pourrait être envisagée entre l’Etat et le FPPN au profit des policiers malades ou blessés en service commandé. Le directeur de cabinet adjoint du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le Général Cissé Lanciné, représentant le ministre d’Etat Hamed Bakayoko, a invité les gestionnaires du FPPN à faire ‘’moins de bruit ‘’. « (…) Faites en sorte de ne pas exposer vos divergences dans la presse.
Le ministre d’Etat Hamed Bakayoko compte beaucoup sur le FPPN. Car, il envisage mettre en oeuvre un programme de logements sociaux pour les policiers. Et il souhaite le faire avec une structure qui travaille », a indiqué le général Cissé. Quant à l’inspecteur des Services de police, le Commissaire Dja Blé Joseph, il a exhorté les responsables du FPPN au travail et mieux gérer cet outil de solidarité. Le président du Conseil d’administration du fonds, le Général Boblae Gossébo Jean François Régis, dit attendre des conseils des devanciers pour une gestion efficiente de ce fonds.
AC
Aussi, le directeur général du FPPN, le Commissaire principal Amouyé Kadjané Jacques n’y est pas allé avec le dos de la cuillère, pour exposer les difficultés auxquelles sa structure est confrontée. C’était lors de l’Assemblée générale ordinaire de ce fonds tenue vendredi denier à l’Ecole nationale de police à Cocody. Le Dg du FPPN a ainsi relevé que les coûts des prises en charge des policiers malades et blessés en mission commandée crèvent à la limite le budget du fonds. Les arriérés relatifs à ces prises en charge, selon le Commissaire principal Kadjané se chiffrent à plus de 2,732 milliards FCFA de 2001 à juin 2015. Et le fonds a besoin, pour le même chapitre, d’un milliard FCFA pour l’année 2016. « (…) Cette dotation va permettre au FPPN de poursuivre ses interventions médico-chirurgicales et urgentes en direction des fonctionnaires de police et de leurs ayant- droits », a-t-il expliqué. Le Dg du FPPN a donc plaidé pour un appui budgétaire auprès du Gouvernement.
Ce, pour renforcer les capacités opérationnelles des structures sanitaires.
Pour le premier responsable du fonds de la police nationale, une convention de concession de service public pourrait être envisagée entre l’Etat et le FPPN au profit des policiers malades ou blessés en service commandé. Le directeur de cabinet adjoint du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le Général Cissé Lanciné, représentant le ministre d’Etat Hamed Bakayoko, a invité les gestionnaires du FPPN à faire ‘’moins de bruit ‘’. « (…) Faites en sorte de ne pas exposer vos divergences dans la presse.
Le ministre d’Etat Hamed Bakayoko compte beaucoup sur le FPPN. Car, il envisage mettre en oeuvre un programme de logements sociaux pour les policiers. Et il souhaite le faire avec une structure qui travaille », a indiqué le général Cissé. Quant à l’inspecteur des Services de police, le Commissaire Dja Blé Joseph, il a exhorté les responsables du FPPN au travail et mieux gérer cet outil de solidarité. Le président du Conseil d’administration du fonds, le Général Boblae Gossébo Jean François Régis, dit attendre des conseils des devanciers pour une gestion efficiente de ce fonds.
AC