Abidjan - Démarrée le 13 avril par les pompes des stations services, la campagne de vérification périodique des instruments de mesure au titre de l’année 2015 entre dans sa phase dite "grande masse" ou "grand public" avant la fin de l’opération prévue pour le 13 août, annonce le ministère du Commerce.
"J’invite les commerçants et toutes les personnes utilisant des instruments de mesure à faire contrôler leurs instruments par nos agents parce que le contrôle est à leur avantage", a déclaré jeudi le directeur de la Métrologie, du Contrôle de la qualité et de la Répression des fraudes, Yapi Georges Kouassi.
Cette opération annuelle contribue à la lutte contre la vie chère tout en améliorant la qualité et la sécurité des services offerts aux consommateurs à travers des instruments fiables, a-t-il indiqué.
Equipés cette année d’instruments de vérification de pointe, les 250 agents déployés sur le terrain envisagent vérifier la fiabilité de 120.000 instruments (contre 92.457 en 2014) sur les sites désignés ou à domicile (pour les instruments lourds).
Sur 1.800 instruments déjà contrôlés à Abidjan, 1% sont non-conformes tandis qu’en 2014, 2% de la totalité avaient fait l’objet de mise sous scellé.
Entre deux campagnes de vérification périodique, le détenteur d’un instrument non vérifié, c’est-à-dire ne portant pas d’étiquette verte, peut faire faire la vérification sans tomber sous le coup de la loi.
Le cas échéant, passée cette période de régulation, les instruments frauduleux, non-conformes, truqués, utilisés malgré leur mise sous scellé seront saisis et détruits et leur utilisateurs sanctionnés, lors de contrôles répressifs inopinés dans la période dite de surveillance du marché.
Le consommateur qui constate qu’un instrument n’a pas été vérifié, peut appeler les numéros verts 80 00 00 99 et 80 08 00 09.
L’utilisateur d’un instrument frauduleux encourt des amendes qui peuvent s’élever à 10 millions de FCFA ou des peines d’emprisonnement. Les contrôles sont assujettis au paiement de redevances qui sont fonction de l’instrument de mesure. Les redevances des compteurs de volume, par exemple, varient de 500 à 10.000 FCFA.
aaa/ask
"J’invite les commerçants et toutes les personnes utilisant des instruments de mesure à faire contrôler leurs instruments par nos agents parce que le contrôle est à leur avantage", a déclaré jeudi le directeur de la Métrologie, du Contrôle de la qualité et de la Répression des fraudes, Yapi Georges Kouassi.
Cette opération annuelle contribue à la lutte contre la vie chère tout en améliorant la qualité et la sécurité des services offerts aux consommateurs à travers des instruments fiables, a-t-il indiqué.
Equipés cette année d’instruments de vérification de pointe, les 250 agents déployés sur le terrain envisagent vérifier la fiabilité de 120.000 instruments (contre 92.457 en 2014) sur les sites désignés ou à domicile (pour les instruments lourds).
Sur 1.800 instruments déjà contrôlés à Abidjan, 1% sont non-conformes tandis qu’en 2014, 2% de la totalité avaient fait l’objet de mise sous scellé.
Entre deux campagnes de vérification périodique, le détenteur d’un instrument non vérifié, c’est-à-dire ne portant pas d’étiquette verte, peut faire faire la vérification sans tomber sous le coup de la loi.
Le cas échéant, passée cette période de régulation, les instruments frauduleux, non-conformes, truqués, utilisés malgré leur mise sous scellé seront saisis et détruits et leur utilisateurs sanctionnés, lors de contrôles répressifs inopinés dans la période dite de surveillance du marché.
Le consommateur qui constate qu’un instrument n’a pas été vérifié, peut appeler les numéros verts 80 00 00 99 et 80 08 00 09.
L’utilisateur d’un instrument frauduleux encourt des amendes qui peuvent s’élever à 10 millions de FCFA ou des peines d’emprisonnement. Les contrôles sont assujettis au paiement de redevances qui sont fonction de l’instrument de mesure. Les redevances des compteurs de volume, par exemple, varient de 500 à 10.000 FCFA.
aaa/ask