Abidjan - Le ministère de l’Industrie et des mines a procédé, vendredi, à Abidjan, au lancement d'un projet d'appui direct aux entreprises opérant dans le secteur de développement de la transformation de l’anacarde en Côte d’Ivoire dont le coût global est de 7,9 milliards de francs.
Ce projet qui durera trois ans est une initiative du gouvernement ivoirien qui, "conscient de l’impact de la transformation des noix brutes sur le développement socio-économique", a adopté un programme en décembre 2013 visant "à atteindre un taux de transformation locale de ce produit de rente d’environ 16% en 2016 pour atteindre le seuil de 100% à l’horizon 2020".
Son financement s’inscrit dans un partenariat public-privé et concernera pour cette phase pilote de 16 entreprises de transformation déjà sélectionnées et qui bénéficieront d’encadrement d’au moins trois mois par des cabinets d’expertise avant le décaissement des fonds où la part de l’Etat ivoirien est de 4,7 milliards de francs CFA.
Ce programme s’appuie sur quatre composantes, à savoir la facilitation d’accès aux financements pour la transformation, l’amélioration de la qualité qui permettra de mettre en place un mécanisme d’appui, une aide à la commercialisation et le renforcement des capacités pour un accompagnement tant administratif, technique que technologique.
Le directeur de cabinet du ministère de l'Industrie, Gnamien Guillaume, représentant le ministre Jean Claude Brou, a partagé la foi que les actions qui seront menées, permettront d’améliorer la capacité de transformation de l’anacarde en Côte d’Ivoire avant d’inviter les opérateurs économiques à "s’inscrire dans une dynamique de transformation des matières premières agricoles" du pays.
"Le ministère de l’Industrie et des mines s’engage à soutenir les efforts d’investissement. Dans ce sens, nous continuerons à l’amélioration de l’environnement des affaires en levant les contraintes liées au développement industriel", a-t-il affirmé.
La Côte d'Ivoire occupe le premier rang africain des producteurs de noix de cajou et le deuxième rang mondial avec une production, en 2014, d’environ 500 000 tonnes. Les prévisions pour 2015 annoncent une production de plus 550 000 tonnes, a-t-on appris.
fmo/akn/ask
Ce projet qui durera trois ans est une initiative du gouvernement ivoirien qui, "conscient de l’impact de la transformation des noix brutes sur le développement socio-économique", a adopté un programme en décembre 2013 visant "à atteindre un taux de transformation locale de ce produit de rente d’environ 16% en 2016 pour atteindre le seuil de 100% à l’horizon 2020".
Son financement s’inscrit dans un partenariat public-privé et concernera pour cette phase pilote de 16 entreprises de transformation déjà sélectionnées et qui bénéficieront d’encadrement d’au moins trois mois par des cabinets d’expertise avant le décaissement des fonds où la part de l’Etat ivoirien est de 4,7 milliards de francs CFA.
Ce programme s’appuie sur quatre composantes, à savoir la facilitation d’accès aux financements pour la transformation, l’amélioration de la qualité qui permettra de mettre en place un mécanisme d’appui, une aide à la commercialisation et le renforcement des capacités pour un accompagnement tant administratif, technique que technologique.
Le directeur de cabinet du ministère de l'Industrie, Gnamien Guillaume, représentant le ministre Jean Claude Brou, a partagé la foi que les actions qui seront menées, permettront d’améliorer la capacité de transformation de l’anacarde en Côte d’Ivoire avant d’inviter les opérateurs économiques à "s’inscrire dans une dynamique de transformation des matières premières agricoles" du pays.
"Le ministère de l’Industrie et des mines s’engage à soutenir les efforts d’investissement. Dans ce sens, nous continuerons à l’amélioration de l’environnement des affaires en levant les contraintes liées au développement industriel", a-t-il affirmé.
La Côte d'Ivoire occupe le premier rang africain des producteurs de noix de cajou et le deuxième rang mondial avec une production, en 2014, d’environ 500 000 tonnes. Les prévisions pour 2015 annoncent une production de plus 550 000 tonnes, a-t-on appris.
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