« Sociétés coopératives, moyen d’autonomisation de la femme en vue de sa pleine participation à l’émergence de la Côte d’ivoire ». C’est le thème retenu par la Côte d’Ivoire pour la célébration de la Journée internationale des coopératives, ce samedi 4 juillet. Reconnue par les Nations unies en sa résolution 47-90 du 16 décembre 1992, cette journée a pour but « d’encourager la création de coopératives, d’inciter les femmes à renforcer leurs acquis et à mener leurs activités avec plus de professionnalisme.»
Pour cette journée mémorable en Côte d’Ivoire, la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, a indiqué que l’importance que revêt la vie coopérative, particulièrement des femmes, et la question sur les politiques et les mesures d’accompagnement à mettre en place pour la création et la croissance de ces coopératives, seront mises en lumière. Car, « l’esprit de solidarité du mouvement coopératif, surtout quand ces coopératives sont animées par des femmes, s’est avéré extrêmement efficace pour donner aux catégories défavorisées la possibilité de faire entendre leur voix, de se mobiliser pour défendre leurs intérêts économiques et d’obtenir une protection sociale », ajoute la ministre.
A l’en croire, les coopératives jouent un rôle primordial « dans la préservation des écosystèmes et de la sécurité alimentaire et nutritionnelle » et sont guidées par l’esprit de justice. Mieux, elles sont pour la plupart fidèles à leurs valeurs démocratiques et favorisent l’inclusion sociale. Tout en prônant un travail décent.
« Pour instaurer l’harmonie de notre système et prévenir son déséquilibre, dans l’équité et la solidarité, nous devons tous encourager et contribuer à la croissance et au succès des organisations coopératives féminines afin qu’elles évoluent vers de véritables sociétés coopératives. C’est à ce prix que tous ensembles avec les peuples autochtones, les réfugiés, les migrants, les chômeurs, les personnes âgées et les personnes handicapées, les femmes des zones rurales et urbaines, nous pourrons trouver dans le travail coopératif, des possibilités de participer à la vie sociale et économique de notre cher pays », fait remarquer Anne Désirée Ouloto.
Ainsi, selon le ministère de la Solidarité, le renforcement des capacités des personnes membres de ces organisations et leur insertion dans des réseaux efficaces, seront des outils indispensables de l’émergence des coopératives en Côte d’Ivoire.
Kamagaté Issouf
issouf.kamagate@fratmat.info
Pour cette journée mémorable en Côte d’Ivoire, la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, a indiqué que l’importance que revêt la vie coopérative, particulièrement des femmes, et la question sur les politiques et les mesures d’accompagnement à mettre en place pour la création et la croissance de ces coopératives, seront mises en lumière. Car, « l’esprit de solidarité du mouvement coopératif, surtout quand ces coopératives sont animées par des femmes, s’est avéré extrêmement efficace pour donner aux catégories défavorisées la possibilité de faire entendre leur voix, de se mobiliser pour défendre leurs intérêts économiques et d’obtenir une protection sociale », ajoute la ministre.
A l’en croire, les coopératives jouent un rôle primordial « dans la préservation des écosystèmes et de la sécurité alimentaire et nutritionnelle » et sont guidées par l’esprit de justice. Mieux, elles sont pour la plupart fidèles à leurs valeurs démocratiques et favorisent l’inclusion sociale. Tout en prônant un travail décent.
« Pour instaurer l’harmonie de notre système et prévenir son déséquilibre, dans l’équité et la solidarité, nous devons tous encourager et contribuer à la croissance et au succès des organisations coopératives féminines afin qu’elles évoluent vers de véritables sociétés coopératives. C’est à ce prix que tous ensembles avec les peuples autochtones, les réfugiés, les migrants, les chômeurs, les personnes âgées et les personnes handicapées, les femmes des zones rurales et urbaines, nous pourrons trouver dans le travail coopératif, des possibilités de participer à la vie sociale et économique de notre cher pays », fait remarquer Anne Désirée Ouloto.
Ainsi, selon le ministère de la Solidarité, le renforcement des capacités des personnes membres de ces organisations et leur insertion dans des réseaux efficaces, seront des outils indispensables de l’émergence des coopératives en Côte d’Ivoire.
Kamagaté Issouf
issouf.kamagate@fratmat.info