Bouaké, Le ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobénan Kouassi Adjoumani, a installé samedi à Bouaké, un comité local de lutte contre la grippe aviaire, dans le but de freiner la propagation de la maladie dont un foyer a été découvert dans la ville.
Après avoir donné l’onction à ses membres, le ministre a remis au comité de composé de 14 membres et présidé par le préfet de la région de Gbêkê, préfet du département de Bouaké, Konin Aka, la somme de 500.000 FCFA, deux motos, des équipements, produits et matériels pour la désinfection et le prélèvement des échantillons de carcasses de volailles en cas de mortalité anormale.
Le comité devra promouvoir le respect des mesures d’hygiène recommandées auprès des éleveurs et vendeurs de volaille, et encourager la surveillance et le contrôle vétérinaire aux frontières de la ville, à cause de l’apparition de cette maladie au Burkina Faso.
Kobénan Kouassi Adjoumani a invité les populations à informer le comité ou les services vétérinaires, le plus rapidement possibles, des cas de morts brusques et anormales de volaille dans leurs élevages.
Il a recommandé notamment d’éviter l’entretien des oies et des canards, de ne jamais ramener à la ferme des volailles invendues du marché, l’isolement des fermes en cas de mortalité anormale. En cas d’introduction de nouveaux oiseaux dans la ferme, les isoler pendant au moins deux semaines.
Le ministre des Ressources animales et halieutiques a rassuré les populations sous la psychose de l’existence de l’existence de la maladie, qu’elles peuvent toujours continuer de manger sans risque la volaille, affirmant que le foyer découvert a été isolé. Puis, il a joint l’acte à la parole en dégustant la viande de poulet cuite issue de fermes locales.
Le gouvernement ivoirien a annoncé officiellement le 24 juin, dans le communiqué final du conseil des ministres, l’existence d’un foyer de grippe aviaire hautement pathogène à Bouaké. L’information a été livrée suite à la certification par le laboratoire de Padoue d’Italie de l’existence du virus de type A(H5N1) dans les prélèvements des carcasses de volailles morts issus d’une basse cour de cette ville.
La Côte d’Ivoire avait connu son premier foyer de grippe aviaire hautement pathogène en 2006. Les pertes financières ont été estimées à 36 milliards de FCFA.
(AIP)
nbf/cmas
Après avoir donné l’onction à ses membres, le ministre a remis au comité de composé de 14 membres et présidé par le préfet de la région de Gbêkê, préfet du département de Bouaké, Konin Aka, la somme de 500.000 FCFA, deux motos, des équipements, produits et matériels pour la désinfection et le prélèvement des échantillons de carcasses de volailles en cas de mortalité anormale.
Le comité devra promouvoir le respect des mesures d’hygiène recommandées auprès des éleveurs et vendeurs de volaille, et encourager la surveillance et le contrôle vétérinaire aux frontières de la ville, à cause de l’apparition de cette maladie au Burkina Faso.
Kobénan Kouassi Adjoumani a invité les populations à informer le comité ou les services vétérinaires, le plus rapidement possibles, des cas de morts brusques et anormales de volaille dans leurs élevages.
Il a recommandé notamment d’éviter l’entretien des oies et des canards, de ne jamais ramener à la ferme des volailles invendues du marché, l’isolement des fermes en cas de mortalité anormale. En cas d’introduction de nouveaux oiseaux dans la ferme, les isoler pendant au moins deux semaines.
Le ministre des Ressources animales et halieutiques a rassuré les populations sous la psychose de l’existence de l’existence de la maladie, qu’elles peuvent toujours continuer de manger sans risque la volaille, affirmant que le foyer découvert a été isolé. Puis, il a joint l’acte à la parole en dégustant la viande de poulet cuite issue de fermes locales.
Le gouvernement ivoirien a annoncé officiellement le 24 juin, dans le communiqué final du conseil des ministres, l’existence d’un foyer de grippe aviaire hautement pathogène à Bouaké. L’information a été livrée suite à la certification par le laboratoire de Padoue d’Italie de l’existence du virus de type A(H5N1) dans les prélèvements des carcasses de volailles morts issus d’une basse cour de cette ville.
La Côte d’Ivoire avait connu son premier foyer de grippe aviaire hautement pathogène en 2006. Les pertes financières ont été estimées à 36 milliards de FCFA.
(AIP)
nbf/cmas
