Abidjan - L’ex-chef de cabinet du ministère de la promotion de la jeunesse, des sports et des loisirs, Beugréfoh Fulbert, a été placé en garde à vue après avoir été auditionné lundi à la police économique dans l’affaire de détournement des primes des Eléphants footballeurs à la dernière coupe d’Afrique des nations (CAN) de football en Guinée Equatoriale.
Il rejoint dans les geôles trois anciens collaborateurs soupçonnés d’être impliqués dans cette malversation à savoir le régisseur de ce ministère, Patrick Yapi, le chauffeur et la secrétaire particulière de l’ancien ministre des sports Alain Michel Lobognon, maintenus depuis vendredi dans lesdits locaux pour "nécessité d’enquête".
Sur instruction du gouvernement, la police économique diligente en ce moment une enquête afin de faire la lumière sur l’affaire de primes détournées des joueurs et des encadreurs de la sélection nationale qui ont contribué au sacre de la de Côte d’Ivoire à la 30ème édition de la CAN.
Initialement de l’ordre de 720 millions F CFA, le montant a été revu à la hausse et serait estimé à plus de deux milliards F CFA.
Le budget de la fédération ivoirienne de football (FIF) soumis à la présidence de la République s’élevait à 3,5 milliards pour toute la durée de la compétition, rappelle-t-on.
fmo/akn/kam
Il rejoint dans les geôles trois anciens collaborateurs soupçonnés d’être impliqués dans cette malversation à savoir le régisseur de ce ministère, Patrick Yapi, le chauffeur et la secrétaire particulière de l’ancien ministre des sports Alain Michel Lobognon, maintenus depuis vendredi dans lesdits locaux pour "nécessité d’enquête".
Sur instruction du gouvernement, la police économique diligente en ce moment une enquête afin de faire la lumière sur l’affaire de primes détournées des joueurs et des encadreurs de la sélection nationale qui ont contribué au sacre de la de Côte d’Ivoire à la 30ème édition de la CAN.
Initialement de l’ordre de 720 millions F CFA, le montant a été revu à la hausse et serait estimé à plus de deux milliards F CFA.
Le budget de la fédération ivoirienne de football (FIF) soumis à la présidence de la République s’élevait à 3,5 milliards pour toute la durée de la compétition, rappelle-t-on.
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