Fulbert Beugrefoh, l'ex-chef de cabinet de l’ancien ministre des Sports, Alain Lobognon et le régisseur Patrick Yapi, en détention depuis mai 2015, dans le cadre de l’affaire ‘’des primes impayées’’ aux Eléphants footballeurs, ont été libérés, a appris, dimanche, APA de bonnes sources dans la capitale économique ivoirienne.
Selon cette source, c’est vendredi soir que les deux pensionnaires de la plus grande prison du pays, ont été priés de regagner leur domicile respectif afin de humer l’air frais de la liberté.
Fulbert Beugrefoh et Patrick Yapi étaient détenus depuis un an, sans jugement, à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA) suite à "l'affaire des primes impayées des Eléphants". Liberté provisoire ou règlement à ‘’l’amiable’’ ? La source n’en dit pas davantage.
Cependant il y a une certitude. Faute de jugement, on ne sait pas qui a détourné les primes des champions d’Afrique en titre. Et les auteurs de ce crime ‘’économique’’ courent toujours.
Après le sacre des Eléphants à la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2015) de football, une scabreuse affaire de primes non versées aux joueurs éclate. Le cumul de ces primes ‘’détournées’’ s’élève à près de 2 milliards FCFA.
HS/ls/APA
Selon cette source, c’est vendredi soir que les deux pensionnaires de la plus grande prison du pays, ont été priés de regagner leur domicile respectif afin de humer l’air frais de la liberté.
Fulbert Beugrefoh et Patrick Yapi étaient détenus depuis un an, sans jugement, à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA) suite à "l'affaire des primes impayées des Eléphants". Liberté provisoire ou règlement à ‘’l’amiable’’ ? La source n’en dit pas davantage.
Cependant il y a une certitude. Faute de jugement, on ne sait pas qui a détourné les primes des champions d’Afrique en titre. Et les auteurs de ce crime ‘’économique’’ courent toujours.
Après le sacre des Eléphants à la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2015) de football, une scabreuse affaire de primes non versées aux joueurs éclate. Le cumul de ces primes ‘’détournées’’ s’élève à près de 2 milliards FCFA.
HS/ls/APA