Abidjan - Le gouvernement appelle les populations à garder confiance, rassurant qu’"il n’y pas à ce jour une menace djihadiste réelle" en Côte d’Ivoire et que même dans l’éventualité des précautions sont prises pour leur protection.
"Je peux à nouveaux rassurer les ivoiriens. Sur la base de ce que nous dise les services en charge de défense et de la sécurité il n’y pas de menaces réelles visibles à ce jour sur le territoire ivoirien", a déclaré son porte-parole, Bruno Nabagné, interpellé de nouveau sur le sujet mercredi, à l’issue d’un conseil des ministres dont il rendait compte.
Au demeurant, a-t-il poursuivi, "des précautions sont prises pour que le cas échéant nous puissions réagir effacement si une telle menace se présentait" avant d’appeler les populations à garder confiance en leur autorités.
"Faites confiance au gouvernement et surtout au conseil national de sécurité qui se réuni au moins une fois par semaine … je peux vous dire que c’est un travail qui est fait d’une façon extrêmement fine, ce qui a permis que jusqu’à présent les choses se passent bien", a lancé le minsitre Nabagné Koné.
Les djihadistes qui opéraient jusque-là dans le nord Mali, ont ouvert depuis peu un nouveau front dans le sud du pays. Après Misséni le 10 juin ceux-ci ont attaqué le 28 juin deux autres villes du sud dont Fakola à seulement 20 km de la frontière ivoirienne.
Le groupe djihadiste Ansar Dine a revendiqué ces attaques et a menacé ouvertement de s’attaquer à la Mauritanie et à la Côte d’Ivoire.
Depuis des rumeurs courent le pays faisant état de la présence de djihadistes pré positionnés en attente de passer à l’action.
(AIP)
kg/akn/tm
"Je peux à nouveaux rassurer les ivoiriens. Sur la base de ce que nous dise les services en charge de défense et de la sécurité il n’y pas de menaces réelles visibles à ce jour sur le territoire ivoirien", a déclaré son porte-parole, Bruno Nabagné, interpellé de nouveau sur le sujet mercredi, à l’issue d’un conseil des ministres dont il rendait compte.
Au demeurant, a-t-il poursuivi, "des précautions sont prises pour que le cas échéant nous puissions réagir effacement si une telle menace se présentait" avant d’appeler les populations à garder confiance en leur autorités.
"Faites confiance au gouvernement et surtout au conseil national de sécurité qui se réuni au moins une fois par semaine … je peux vous dire que c’est un travail qui est fait d’une façon extrêmement fine, ce qui a permis que jusqu’à présent les choses se passent bien", a lancé le minsitre Nabagné Koné.
Les djihadistes qui opéraient jusque-là dans le nord Mali, ont ouvert depuis peu un nouveau front dans le sud du pays. Après Misséni le 10 juin ceux-ci ont attaqué le 28 juin deux autres villes du sud dont Fakola à seulement 20 km de la frontière ivoirienne.
Le groupe djihadiste Ansar Dine a revendiqué ces attaques et a menacé ouvertement de s’attaquer à la Mauritanie et à la Côte d’Ivoire.
Depuis des rumeurs courent le pays faisant état de la présence de djihadistes pré positionnés en attente de passer à l’action.
(AIP)
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