Abidjan - Le président de la République, Alassane Ouattara, a ratifié, ce mercredi, en conseil des ministres, trois conventions internationales auxquelles avait souscrit la Côte d’Ivoire dans le cadre du processus mondial de désarmement et de la non prolifération des armes de destruction massive.
Ces conventions pourront désormais ainsi être mise en œuvre effectivement par notre pays, a noté le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, donnant l’information au cours de son compte rendu du conseil.
Il s’agit de "la convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage des armes bactériologiques ou biologiques ou à toxine" adopté à Londres, Moscou et Washington le 12 avril 1972, de "la convention sur l’interdiction ou la limitation de l’emploi de certaines armes qui peuvent être considérées comme produisant des effets traumatiques excessifs ou comme frappant sans discrimination" signée le 10 octobre 1980 à Genève en suisse", que le conseil des ministres a autorisée le président de la république à ratifier.
La troisième convention ratifiée est "le protocole additionnel à l’accord entre la Côte d’Ivoire et l’agence inter de l’énergie atomique (AIEA) relatif à l’application des garantie dans le cadre du traité sur la non prolifération des armes nucléaire" signée en 22 octobre 2008 à Vienne.
Selon le porte-parole du gouvernement il s’agit ainsi pour la Côte d’Ivoire de "confirmer et consolider son caractère de pays profondément pacifique", a-t-il expliqué, situant sur l’intérêt pour le pays de mettre en œuvre ces textes notamment celui de prendre sa part dans l’élan global de sécurisation dans le monde.
Le président Ouattara bien loin de ces trois textes internationaux sur les armes a ratifié par ailleurs "la charte africaine sur les valeurs et les principes du service public et de l’administration" adopté le 31 janvier 2011 à Addis-Abeba.
kg/akn/kam
Ces conventions pourront désormais ainsi être mise en œuvre effectivement par notre pays, a noté le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, donnant l’information au cours de son compte rendu du conseil.
Il s’agit de "la convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage des armes bactériologiques ou biologiques ou à toxine" adopté à Londres, Moscou et Washington le 12 avril 1972, de "la convention sur l’interdiction ou la limitation de l’emploi de certaines armes qui peuvent être considérées comme produisant des effets traumatiques excessifs ou comme frappant sans discrimination" signée le 10 octobre 1980 à Genève en suisse", que le conseil des ministres a autorisée le président de la république à ratifier.
La troisième convention ratifiée est "le protocole additionnel à l’accord entre la Côte d’Ivoire et l’agence inter de l’énergie atomique (AIEA) relatif à l’application des garantie dans le cadre du traité sur la non prolifération des armes nucléaire" signée en 22 octobre 2008 à Vienne.
Selon le porte-parole du gouvernement il s’agit ainsi pour la Côte d’Ivoire de "confirmer et consolider son caractère de pays profondément pacifique", a-t-il expliqué, situant sur l’intérêt pour le pays de mettre en œuvre ces textes notamment celui de prendre sa part dans l’élan global de sécurisation dans le monde.
Le président Ouattara bien loin de ces trois textes internationaux sur les armes a ratifié par ailleurs "la charte africaine sur les valeurs et les principes du service public et de l’administration" adopté le 31 janvier 2011 à Addis-Abeba.
kg/akn/kam