Korhogo - Le préfet de Korhogo, Daouda Ouattara, a suspendu jusqu’à nouvelle ordre, la construction de nouvelles mosquées dans le département, face à la menace terroriste en Côte d’Ivoire et en particulier à la frontière nord.
Cette information a été donné samedi au cours de réunion d’information et de sensibilisation sur la menace terroriste à la préfecture de Korhogo, suite aux récentes attaques des jihadistes la frontière ivoiro-malienne.
« On est envahi par la construction de mosquée et par des gens peu recommandables à Korhogo … on veut savoir qui finance la construction de ces mosquées et par conséquent, la construction de nouvelle mosquée est suspendu jusqu’à nouvelle ordre », a déclaré l'administrateur civil.
Pour lui, c’est l’intérêt du pays qui est en jeux. Ainsi, désormais, ceux qui veulent construire des mosquées doivent avoir l’autorisation de construire du Conseil supérieur des imams (COSIM) et de la mairie de Korhogo.
Cependant, Daouda Ouattara a rassuré les uns et les autres que la situation est sous contrôle, tout en appelant les leaders d’opinion, les chefs de quartiers, de village, les commerçants, les transporteurs, les hôteliers à la vigilance.
apk/cmas
Cette information a été donné samedi au cours de réunion d’information et de sensibilisation sur la menace terroriste à la préfecture de Korhogo, suite aux récentes attaques des jihadistes la frontière ivoiro-malienne.
« On est envahi par la construction de mosquée et par des gens peu recommandables à Korhogo … on veut savoir qui finance la construction de ces mosquées et par conséquent, la construction de nouvelle mosquée est suspendu jusqu’à nouvelle ordre », a déclaré l'administrateur civil.
Pour lui, c’est l’intérêt du pays qui est en jeux. Ainsi, désormais, ceux qui veulent construire des mosquées doivent avoir l’autorisation de construire du Conseil supérieur des imams (COSIM) et de la mairie de Korhogo.
Cependant, Daouda Ouattara a rassuré les uns et les autres que la situation est sous contrôle, tout en appelant les leaders d’opinion, les chefs de quartiers, de village, les commerçants, les transporteurs, les hôteliers à la vigilance.
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