Le Premier ministre, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, Daniel Kablan Duncan a présidé jeudi 9 juillet, la première réunion des chefs des administrations maritimes francophones d’Afrique qui se tient à Abidjan sur deux jours. Prévue pour traiter, entre autres, des questions de sécurité, de sûreté, de contrôle par l’Etat du port, des politiques maritimes, de la ratification et la mise en oeuvre des Conventions, cette rencontre a été l’occasion pour le Chef du Gouvernement de souligner la nécessité pour les pays africains de mutualiser leurs efforts en matière maritime.
Car, a déploré le Premier ministre, la part de l’Afrique dans le commerce international est d’environ 3% pendant que la moyenne des échanges commerciaux interafricains tourne autour de 10%.
C’est pourquoi, il a proposé qu sortir des travaux, une action conséquente et vigoureuse soit engagée pour s’attaquer à ces problèmes au niveau national, régional et continental, soutenant que “la coopération entre nos Etat devra permettre l’amélioration du commerce maritime”.
Tout en invitant les participants à une coopération renforcée et dynamique entre les différentes administrations nationales, dans l’optique de faire face au ‘’défi majeur’’ auquel ces différents pays sont confrontés en mer notamment en matière de sécurité, de sûreté maritime et portuaire, Daniel Kablan Duncan a réitéré la disposition de la Côte d’Ivoire à ratifier les différentes Conventions adoptées par l’Organisation Maritime internationale (OMI).
Emboîtant le pas au Premier ministre, le ministre du Transport, Gaoussou Touré a rappelé aux chefs des administrations maritimes que “les enjeux sont tellement importants et les moyens financiers sollicités sont tellement élevés qu’aucun pays africain, seul, ne peut y faire face’’.
Aussi a-t-il plaidé pour une synergie d’actions des Etats pour juguler les problèmes qui minent ce secteur notamment, les problèmes de sécurité et de sûreté maritime et portuaire, de protection de l’environnement et de création d’emploi de marins.
Il a rappelé aux experts venus de quinze pays “le cadre de politiques générales adopté par nos chefs d’Etats, à Addis-Abeba en janvier 2014, nous invite à répondre aux attentes légitimes de nos pays qui restent tributaires des mers et des océans au plan politique, économique et social”.
Le Bénin, Comores, la République du Congo, la République démocratique du Congo, Djibouti, le Gabon, la Guinée, la Guinée Bissau, la Guinée Equatoriale, Madagascar, la Mauritanie, le Sénégal, le Nigéria, le Togo et la Côte d’Ivoire prennent part à la rencontre d’Abidjan.
Car, a déploré le Premier ministre, la part de l’Afrique dans le commerce international est d’environ 3% pendant que la moyenne des échanges commerciaux interafricains tourne autour de 10%.
C’est pourquoi, il a proposé qu sortir des travaux, une action conséquente et vigoureuse soit engagée pour s’attaquer à ces problèmes au niveau national, régional et continental, soutenant que “la coopération entre nos Etat devra permettre l’amélioration du commerce maritime”.
Tout en invitant les participants à une coopération renforcée et dynamique entre les différentes administrations nationales, dans l’optique de faire face au ‘’défi majeur’’ auquel ces différents pays sont confrontés en mer notamment en matière de sécurité, de sûreté maritime et portuaire, Daniel Kablan Duncan a réitéré la disposition de la Côte d’Ivoire à ratifier les différentes Conventions adoptées par l’Organisation Maritime internationale (OMI).
Emboîtant le pas au Premier ministre, le ministre du Transport, Gaoussou Touré a rappelé aux chefs des administrations maritimes que “les enjeux sont tellement importants et les moyens financiers sollicités sont tellement élevés qu’aucun pays africain, seul, ne peut y faire face’’.
Aussi a-t-il plaidé pour une synergie d’actions des Etats pour juguler les problèmes qui minent ce secteur notamment, les problèmes de sécurité et de sûreté maritime et portuaire, de protection de l’environnement et de création d’emploi de marins.
Il a rappelé aux experts venus de quinze pays “le cadre de politiques générales adopté par nos chefs d’Etats, à Addis-Abeba en janvier 2014, nous invite à répondre aux attentes légitimes de nos pays qui restent tributaires des mers et des océans au plan politique, économique et social”.
Le Bénin, Comores, la République du Congo, la République démocratique du Congo, Djibouti, le Gabon, la Guinée, la Guinée Bissau, la Guinée Equatoriale, Madagascar, la Mauritanie, le Sénégal, le Nigéria, le Togo et la Côte d’Ivoire prennent part à la rencontre d’Abidjan.