Le Ministre des Ressources Animales et Halieutiques, M. Adjouman K Kobenan a présidé le 09 juillet, la cérémonie d’ouverture de la réunion de réflexion et de validation d’indicateurs et de critères pour l’alignement des politiques nationales et régionales de la pêche et de l’aquaculture sur le cadre politique et la stratégie de reforme de la pêche et l’aquaculture en Afrique et sur les instruments internationaux régissant la pêche et l’aquaculture.
Plusieurs dizaines de pays Africains ont pris part à cette rencontre à Abidjan du 09 au 11 juillet pour la bonne gouvernance de la pêche et de l’aquaculture, née de la collaboration de l’Union Africaine (UA), du Bureau Interafricain des Ressources Animales (BIRA), du NEPAD, de la CEDEAO, de l’Union Européenne (UE).
En effet, l’envergure de cette réunion du cadre politique et stratégie de reforme de la pêche et de l’Aquaculture en Afrique, tient dans l’importance des sujets à débattre par les panélistes des délégations des communautés économiques régionales, des organisations internationales, les experts des Etats membres et les observateurs, représentants des organisations régionales et sous régionales.
Il s’agit entre autres de, l’ examen du projet d’indicateurs et de critères identifiés pour l’alignement des politiques nationales et régionale sur le cadre politique et la stratégie de reforme ; la validation de ces indicateurs comme outils de suivi par les Etats membres de l’Union Africaine et les organisations régionales ; l’élaboration de plans d’action et d’une feuille de route claire assortis d’échéances pour le processus d’intégration du document de politique panafricaine ainsi que des instruments internationaux de gestion de la pêche et de développement de l’aquaculture.
« Le secteur des pêches et de l’aquaculture est un domaine d’activités clé qui, s’inscrit au cœur des problématiques des politiques publiques de nos Etats, en ce sens qu’il contribue de façon capitale à la sécurité alimentaire, à la création d’emplois et à la lutte contre l’extrême pauvreté grâce aux activités connexes » a indiqué le ministre Adjoumani Kobenan.
Il a par ailleurs souligné que la pêche et l’aquaculture restent un secteur vital qui fournit de quoi vivre à plus de 400 000 personnes et génèrent des recettes d’exportations annuelles de plus de 100 milliards F CFA.
Ce pourquoi, le ministre ivoirien des Ressources Animales et Halieutiques s’est réjoui et à saluer les actions du Bureau interafricain des Ressources Animales (BIRA) de l’UA en faveur du développement de la pêche et de l’aquaculture dans le continent Africain.
Mais en amont, il n’a pas manqué de rendre un vibrant hommage à S.E. Dr Dlamini Zuma, Présidente de la Commission de l’Union Africaine qui, selon lui ne ménage aucun effort pour la réalisation des objectifs relatifs à une politique panafricaine et l’acquisition d’instruments internationaux de gestion de la pêche et de l’aquaculture.
« On ne peut pas gérer durablement ces pêcheries avec 54 politiques différentes. En conséquence, le résultat majeur attendu sera l’alignement des politiques nationales. Cette cohérence à l’échelle de notre continent est à rechercher, voire, à encourager pour faire face aux différents défis auxquels sont confrontés nos pêcheries » a déclaré M. Adjoumani Kobenan, ministre des Ressources Animales et Halieutiques.
JOB ATTEMENE
Plusieurs dizaines de pays Africains ont pris part à cette rencontre à Abidjan du 09 au 11 juillet pour la bonne gouvernance de la pêche et de l’aquaculture, née de la collaboration de l’Union Africaine (UA), du Bureau Interafricain des Ressources Animales (BIRA), du NEPAD, de la CEDEAO, de l’Union Européenne (UE).
En effet, l’envergure de cette réunion du cadre politique et stratégie de reforme de la pêche et de l’Aquaculture en Afrique, tient dans l’importance des sujets à débattre par les panélistes des délégations des communautés économiques régionales, des organisations internationales, les experts des Etats membres et les observateurs, représentants des organisations régionales et sous régionales.
Il s’agit entre autres de, l’ examen du projet d’indicateurs et de critères identifiés pour l’alignement des politiques nationales et régionale sur le cadre politique et la stratégie de reforme ; la validation de ces indicateurs comme outils de suivi par les Etats membres de l’Union Africaine et les organisations régionales ; l’élaboration de plans d’action et d’une feuille de route claire assortis d’échéances pour le processus d’intégration du document de politique panafricaine ainsi que des instruments internationaux de gestion de la pêche et de développement de l’aquaculture.
« Le secteur des pêches et de l’aquaculture est un domaine d’activités clé qui, s’inscrit au cœur des problématiques des politiques publiques de nos Etats, en ce sens qu’il contribue de façon capitale à la sécurité alimentaire, à la création d’emplois et à la lutte contre l’extrême pauvreté grâce aux activités connexes » a indiqué le ministre Adjoumani Kobenan.
Il a par ailleurs souligné que la pêche et l’aquaculture restent un secteur vital qui fournit de quoi vivre à plus de 400 000 personnes et génèrent des recettes d’exportations annuelles de plus de 100 milliards F CFA.
Ce pourquoi, le ministre ivoirien des Ressources Animales et Halieutiques s’est réjoui et à saluer les actions du Bureau interafricain des Ressources Animales (BIRA) de l’UA en faveur du développement de la pêche et de l’aquaculture dans le continent Africain.
Mais en amont, il n’a pas manqué de rendre un vibrant hommage à S.E. Dr Dlamini Zuma, Présidente de la Commission de l’Union Africaine qui, selon lui ne ménage aucun effort pour la réalisation des objectifs relatifs à une politique panafricaine et l’acquisition d’instruments internationaux de gestion de la pêche et de l’aquaculture.
« On ne peut pas gérer durablement ces pêcheries avec 54 politiques différentes. En conséquence, le résultat majeur attendu sera l’alignement des politiques nationales. Cette cohérence à l’échelle de notre continent est à rechercher, voire, à encourager pour faire face aux différents défis auxquels sont confrontés nos pêcheries » a déclaré M. Adjoumani Kobenan, ministre des Ressources Animales et Halieutiques.
JOB ATTEMENE