Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a appelé vendredi la communauté internationale à aider financièrement les trois pays durement affectés par Ebola, lors d'une conférence internationale sur l'épidémie organisée au siège de l'ONU à New York.
"La tâche qui nous attend est immense : il s'agit de concrétiser nos promesses de solidarité", a dit M. Ban dans un discours à l'ouverture de cette conférence, en présence des présidents de la Guinée, du Liberia et de la Sierra Leone.
"Je vous demande de vous joindre à moi pour apporter un soutien durable aux populations des pays touchés par Ebola", a indiqué M. Ban lors de la conférence, dont l'objectif était de mobiliser 3,2 milliards de dollars au cours des deux prochaines années pour que la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone se remettent de cette crise.
Il a rappelé que l'impact de l'épidémie était important et que celle-ci avait érodé les progrès en matière de paix et de développement et avait fortement perturbé le fonctionnement des services sanitaires et sociaux.
Plusieurs secteurs ont été touchés : l'agriculture, le secteur minier, le commerce, le tourisme, le transport, la pêche et l'élevage, et le fonctionnement des écoles, des hôpitaux et des autres infrastructures publiques a également souffert, a-t-il déploré.
"Toutes ces perturbations ont eu un impact négatif sur les économies des trois pays", a noté M. Ban. C'est pour cette raison que la communauté internationale doit continuer de faire du relèvement de ces pays une priorité pendant une longue période, afin de renforcer leur résilience à des chocs futurs, a-t-il indiqué.
"Investir en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia rapportera des dividendes au niveau mondial en évitant que des épidémies locales ne deviennent des urgences nationales et régionales", a souligné le secrétaire général de l'ONU.
M. Ban a également salué les efforts de l'Union africaine (UA) pour mobiliser les dirigeants africains, ainsi que le secteur privé et la société civile en Afrique, afin d'aider les pays affectés.
"L'unité régionale a été déterminante pour contrôler l'épidémie et elle sera cruciale pour assurer un relèvement efficace", a souligné M. Ban, qui a notamment fait l'éloge des 800 volontaires africains qui ont été déployés dans le cadre du mécanisme de soutien de l'UA face à l'épidémie.
Le chef de l'ONU a aussi salué les pays qui ont répondu à son appel à l'aide quand l'épidémie faisait rage et qui ont permis de freiner sa progression grâce à leur soutien logistique et médical.
"La tâche qui nous attend est immense : il s'agit de concrétiser nos promesses de solidarité", a dit M. Ban dans un discours à l'ouverture de cette conférence, en présence des présidents de la Guinée, du Liberia et de la Sierra Leone.
"Je vous demande de vous joindre à moi pour apporter un soutien durable aux populations des pays touchés par Ebola", a indiqué M. Ban lors de la conférence, dont l'objectif était de mobiliser 3,2 milliards de dollars au cours des deux prochaines années pour que la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone se remettent de cette crise.
Il a rappelé que l'impact de l'épidémie était important et que celle-ci avait érodé les progrès en matière de paix et de développement et avait fortement perturbé le fonctionnement des services sanitaires et sociaux.
Plusieurs secteurs ont été touchés : l'agriculture, le secteur minier, le commerce, le tourisme, le transport, la pêche et l'élevage, et le fonctionnement des écoles, des hôpitaux et des autres infrastructures publiques a également souffert, a-t-il déploré.
"Toutes ces perturbations ont eu un impact négatif sur les économies des trois pays", a noté M. Ban. C'est pour cette raison que la communauté internationale doit continuer de faire du relèvement de ces pays une priorité pendant une longue période, afin de renforcer leur résilience à des chocs futurs, a-t-il indiqué.
"Investir en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia rapportera des dividendes au niveau mondial en évitant que des épidémies locales ne deviennent des urgences nationales et régionales", a souligné le secrétaire général de l'ONU.
M. Ban a également salué les efforts de l'Union africaine (UA) pour mobiliser les dirigeants africains, ainsi que le secteur privé et la société civile en Afrique, afin d'aider les pays affectés.
"L'unité régionale a été déterminante pour contrôler l'épidémie et elle sera cruciale pour assurer un relèvement efficace", a souligné M. Ban, qui a notamment fait l'éloge des 800 volontaires africains qui ont été déployés dans le cadre du mécanisme de soutien de l'UA face à l'épidémie.
Le chef de l'ONU a aussi salué les pays qui ont répondu à son appel à l'aide quand l'épidémie faisait rage et qui ont permis de freiner sa progression grâce à leur soutien logistique et médical.