Odienné - Le Centre d’animation et de formation pédagogique (CAFOP) d’Odienné, pillé et détruit lors de la crise militaro-politique de 2002, est en réhabilitation et doit être livré en fin juillet pour permettre aux instituteurs stagiaires de se former dans les meilleures conditions dès la rentrée des classes en septembre.
Lors d’une visite, vendredi, en fin de soirée, l’AIP a constaté une avancée notable des travaux de réhabilitation. Selon le gestionnaire du chantier, Koné Alain, les travaux ont démarré en février et devrait finir en fin juin.
Mais des ruptures de ciment dans la ville ont retardé le bon déroulement des travaux, a expliqué le gestionnaire du chantier qui annonce une prorogation de la livraison de l’édifice en fin juillet.
Le bloc administratif, le bloc enseignant, une salle vidéo sont les bâtiments en cours de réhabilitation. Les dortoirs n’étant pas pris en compte par les travaux en cours, apprend-on.
Depuis la fin de la crise, plusieurs promotions d’instituteurs stagiaires ont été formées dans une école primaire, les locaux du CAFOP ayant été détruits et abandonnés depuis les différentes crises sociopolitiques que la Côte d’ivoire a connues entre 2002 et 2011, rappelle-t-on.
(AIP)
ss/kam
Lors d’une visite, vendredi, en fin de soirée, l’AIP a constaté une avancée notable des travaux de réhabilitation. Selon le gestionnaire du chantier, Koné Alain, les travaux ont démarré en février et devrait finir en fin juin.
Mais des ruptures de ciment dans la ville ont retardé le bon déroulement des travaux, a expliqué le gestionnaire du chantier qui annonce une prorogation de la livraison de l’édifice en fin juillet.
Le bloc administratif, le bloc enseignant, une salle vidéo sont les bâtiments en cours de réhabilitation. Les dortoirs n’étant pas pris en compte par les travaux en cours, apprend-on.
Depuis la fin de la crise, plusieurs promotions d’instituteurs stagiaires ont été formées dans une école primaire, les locaux du CAFOP ayant été détruits et abandonnés depuis les différentes crises sociopolitiques que la Côte d’ivoire a connues entre 2002 et 2011, rappelle-t-on.
(AIP)
ss/kam
