Abidjan - Le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a appelé vendredi la communauté internationale à aider financièrement les trois pays durement affectés par Ebola, à savoir la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone.
"La tâche qui nous attend est immense : il s'agit de concrétiser nos promesses de solidarité", a déclaré M. Ban dans un discours à l'ouverture d'une conférence internationale sur l'épidémie organisée au siège de l'ONU, à New York, en présence des présidents de la Guinée, du Liberia et de la Sierra Leone.
Selon lui, l'objectif de la conférence est de mobiliser 3,2 milliards de dollars US au cours des deux prochaines années pour que ces trois pays se remettent de cette crise.
Il a rappelé que l'impact de l'épidémie est important car elle a érodé les progrès en matière de paix et de développement et a fortement perturbé le fonctionnement des services sanitaires et sociaux.
"Toutes ces perturbations ont eu un impact négatif sur les économies des trois pays", a noté M. Ban, estimant donc que la communauté internationale doit continuer de faire du relèvement de ces pays une priorité pendant une longue période, afin de renforcer leur résilience à des chocs futurs.
"Investir en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia rapportera des dividendes au niveau mondial en évitant que des épidémies locales ne deviennent des urgences nationales et régionales", a souligné Ban Ki-moon.
Le secrétaire général de l'ONU a également salué les efforts de l'Union africaine (UA) pour mobiliser les dirigeants africains, ainsi que le secteur privé et la société civile en Afrique, afin d'aider les pays affectés.
Il a aussi salué les pays qui ont répondu à son appel à l'aide quand l'épidémie faisait rage et qui ont permis de freiner sa progression grâce à leur soutien logistique et médical. Déclarée en mars 2014, cette épidémie a fait plus de 11.600 morts en Afrique de l’ouest et principalement dans ces trois pays.
cmas
"La tâche qui nous attend est immense : il s'agit de concrétiser nos promesses de solidarité", a déclaré M. Ban dans un discours à l'ouverture d'une conférence internationale sur l'épidémie organisée au siège de l'ONU, à New York, en présence des présidents de la Guinée, du Liberia et de la Sierra Leone.
Selon lui, l'objectif de la conférence est de mobiliser 3,2 milliards de dollars US au cours des deux prochaines années pour que ces trois pays se remettent de cette crise.
Il a rappelé que l'impact de l'épidémie est important car elle a érodé les progrès en matière de paix et de développement et a fortement perturbé le fonctionnement des services sanitaires et sociaux.
"Toutes ces perturbations ont eu un impact négatif sur les économies des trois pays", a noté M. Ban, estimant donc que la communauté internationale doit continuer de faire du relèvement de ces pays une priorité pendant une longue période, afin de renforcer leur résilience à des chocs futurs.
"Investir en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia rapportera des dividendes au niveau mondial en évitant que des épidémies locales ne deviennent des urgences nationales et régionales", a souligné Ban Ki-moon.
Le secrétaire général de l'ONU a également salué les efforts de l'Union africaine (UA) pour mobiliser les dirigeants africains, ainsi que le secteur privé et la société civile en Afrique, afin d'aider les pays affectés.
Il a aussi salué les pays qui ont répondu à son appel à l'aide quand l'épidémie faisait rage et qui ont permis de freiner sa progression grâce à leur soutien logistique et médical. Déclarée en mars 2014, cette épidémie a fait plus de 11.600 morts en Afrique de l’ouest et principalement dans ces trois pays.
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